Goin

Durée visite : 40 minutes
Moyen : Pédestre

Le château de Goin en Moselle

Le village était appelé Goddinga Villa en Gaule romaine. Au Moyen Âge, Goin était une enclave lorraine dans le Saulnois. La seigneurie relevait de la famille de Commercy, puis du duc de Lorraine, Charles III. C’était le siège d’une paroisse de l’archiprêtré de Nomeny dépendant de l’ancienne abbaye Saint-Martin-les-Metz, puis du chapitre de la primatiale de Nancy. Le château a soutenu plusieurs sièges. Il fut pris en 1427 par Charles de Lorraine. Les Messins qui, dans la guerre de la Ligue, s’étaient prononcés pour Henri de Navarre, prirent ce château aux Lorrains. Ils y trouvèrent d’abondants approvisionnements

The village was called Goddinga Villa in Roman Gaul. In the Middle Ages, Goin was a Lorraine enclave in the Saulnois. The lordship was the responsibility of Commercy’s family, then the Duke of Lorraine, Charles III. It was the seat of a parish of the archdiocese of Nomeny, which was part of the former abbey of St. Martin-les-Metz, and then the chapter of Nancy’s primate. The castle supported several seats. It was taken in 1427 by Charles de Lorraine. The Messins who, in the war of the League, had spoken for Henry of Navarre, took this castle from the Lorrains. They found considerable supplies there.

Das Dorf wurde Goddinga Villa in römischer Gallien genannt. Im Mittelalter war Goin eine Lothringer Enklave im Saulnois. Die Lordschaft gehörte zur Familie von Commercy, dann zum Herzog von Lothringen, Karl III.. Es war der Sitz einer Pfarrei des Erzpriesters von Nomeny, die von der ehemaligen Abtei Saint-Martin-les-Metz und dann vom Kapitel der Primatiale von Nancy abhängig war. Das Schloss hat mehrere Sitze unterstützt. Er wurde 1427 von Charles de Lorraine eingenommen. Die Messiner, die sich im Krieg der Liga für Henri de Navarre ausgesprochen hatten, nahmen dieses Schloss von den Lothringern. Dort fanden sie beträchtliche Vorräte.

D’azur à une croix d’argent, cantonnée de quatre fleurs de lys d’or.

Ce sont les armes de la famille de Goin, d’ancienne chevalerie.

From azure to a silver cross, with four flowers of golden lilies.

These are the weapons of Goin’s family, of ancient chivalry.

Azur zu einem silbernen Kreuz, mit vier Goldenen Lilienblüten.

Das sind die Waffen von Goins Familie, einem alten Ritter.

Les habitants de Goin s’appellent les Godinvillois et les Godinvilloises.

The inhabitants of Goin are called the Godinvillois and the Godinvilloises.

Die Einwohner von Goin heißen die Godinvillois und die Godinvilloises.

Les points de visites

 

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En 1840, une adjudication aux enchères publiques de 11 parcelles de terrains communaux d’une surface totale d’un hectare. Le montant de cette aliénation est employé à pourvoir aux dépenses de reconstruction complète de la fontaine publique évaluées à 1200 frs. En 1870 et 1878 ont lieu des réparations. En 1878 est installée une pompe. En cas de pénurie, les habitants vont chercher de l’eau dans une source située à un kilomètre. Les sources étant propriétés privées, les autre villages n’y ont pas accès.

In 1840, a public auction of 11 parcels of communal land with a total area of one hectare. The amount of this disposal is used to provide for the expenditure of complete reconstruction of the public fountain estimated at 1200 frs. In 1870 and 1878 repairs took place. In 1878 a pump was installed. In the event of a shortage, residents will fetch water from a spring one kilometre away. As the springs are privately owned, the other villages do not have access to them.

1840 eine öffentliche Versteigerung von 11 Gemeindegrundstücken mit einer Gesamtfläche von einem Hektar. Die Höhe dieser Entfremdung wird für die Kosten des vollständigen Wiederaufbaus des öffentlichen Brunnens verwendet, die auf 1200 fs geschätzt werden. In 1870 und 1878 finden Reparaturen statt. 1878 wurde eine Pumpe installiert. Im Falle einer Knappheit suchen die Bewohner Wasser aus einer Ein-Kilometer-Quelle. Da die Quellen in Privatbesitz sind, haben die anderen Dörfer keinen Zugang dazu.

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Construite au XVIIIe siècle, elle a été transformée en 1903. En 2018, l’église Saint-Martin de Goin a connu une cérémonie exceptionnelle. L’évêque de Metz, Monseigneur Lagleize a procédé à la consécration de l’ambon (pupitre de lecture), à la déposition de reliques et à la dédicace du nouvel autel.

Saint Martin de Tours, aussi nommé Martin le Miséricordieux, ou encore saint Martin des Champs , est né à Savaria, dans la province romaine de Pannonie (actuelle Hongrie), en 316, et mort à Candes, en Gaule, le 8 novembre 397. C’est l’un des principaux saints de la chrétienté et le plus célèbre des évêques de Tours avec Grégoire de Tours. Sa vie est essentiellement connue par la Vita sancti Martini, écrite en 397 par Sulpice-Sévère, qui fut l’un de ses disciples. La dévotion à Martin se manifeste à travers une relique, le manteau ou la chape de Martin — qu’il partage avec un déshérité transi de froid. Dès le Ve siècle, le culte martinien donne lieu à un cycle hagiographique, c’est-à-dire à une série d’images relatant les faits et gestes du saint. Anecdote : Martin est mort à Candes en Poitou ; or les habitants voulaient gardé le corps, déjà en odeur de sainteté. Des Tourangeaux vinrent le dérober de nuit pour le ramener dans leur bonne ville.

Built in the 18th century, it was transformed in 1903. In 2018, St. Martin’s Church in Goin had an exceptional ceremony. The Bishop of Metz, Monsignor Lagleize, proceeded to consecrate the ambo, to deposition relics and to consecrate the new altar. Saint Martin de Tours, also known as Martin the Merciful, or Saint Martin of the Fields, was born in Savaria, in the province The Roman side of Pannia (present-day Hungary) in 316, and died in Candes, Gaul, on 8 November 397. He is one of the principal saints of Christendom and the most famous of the bishops of Tours with Gregory of Tours.

His life is mainly known by the Vita sancti Martini, written in 397 by Sulpice-Sévère, who was one of his disciples. Martin’s devotion is manifested through a relic, the mantle or the cloak of Martin—which he shares with a cold-cold disinherited man. As early as the 5th century, the Martinian cult gave rise to a hagiographic cycle, that is to say, a series of images recounting the saint’s actions. Anecdote: Martin died in Candes in Poitou; but the inhabitants wanted to keep the body, already in the odor of sanctity. Some people from Touraine came to steal it at night to bring it back to their good city.

Erbaut im 18. Jahrhundert, wurde es im Jahr 1903 umgewandelt. 2018 fand in der Kirche St. Martin in Goin eine außergewöhnliche Zeremonie statt. Der Bischof von Metz, Monsignore Lagleize, hat die Weihe des Ambons, die Aussage von Reliquien und die Widmung des neuen Altars vorgenommen. Der hl. Martin von Tours, auch der barmherzige Martin genannt, oder auch der hl. Martin von den Feldern, wurde in Savaria in der Provinz geboren Römer von Pannonien (heute Ungarn), 316, und starb in Candes, Gallien, am 8. November 397. Es ist einer der wichtigsten Heiligen der Christenheit und der berühmteste Bischof von Tours mit Gregor von Tours. Sein Leben ist im Wesentlichen durch die Vita sancti Martini bekannt, die 397 von Sulpice-Sévère geschrieben wurde, der einer seiner Jünger war. Die Hingabe an Martin zeigt sich in einer Reliquie, martins Mantel oder Estrich – die er mit einer kältelosen Erkältung teilt. Seit dem 5. Jahrhundert führt der Martinskult zu einem hagiographischen Zyklus, das heißt zu einer Reihe von Bildern, die die Taten und Gesten des Heiligen erzählen.
Anekdote: Martin starb in Candes in Poitou; aber die Bewohner wollten den Körper schon im Geruch der Heiligkeit halten. Einige Leute aus Touraine kamen, um es nachts zu stehlen, um es in ihre gute Stadt zurückzubringen.

 

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C’est une vie assez extraordinaire qu’aura vécue ce natif de Goin. Né en 1811, il est le fils aîné d’un charron, Nicolas Cuny. Destiné à la prêtrise, il est inscrit au séminaire de Montigny mais ne s’y montre pas exceptionnel. Ordonné prêtre, il démissionne quelques semaines après et renonce à la cléricature. Cuny décide à ce moment-là de se tourner vers la médecine.

En 1831, il écrit au ministère de la Guerre, pour obtenir de devenir élève en pharmacie à l’hôpital militaire d’instruction de Metz. Sa candidature est retenue. Le 19 décembre, il s’engage pour une durée minimale de sept années. Après un stage de dix mois et de bons résultats, il est nommé le 12 octobre 1832 pharmacien sous-aide-major et est affecté à Toulon puis, en septembre 1833 à Bône en Algérie. Il sert alors à l’hôpital de la Salpêtrière. Il participe à la lutte contre les fièvres et le choléra. Mauvais caractère, il provoque son chef en duel. Puis ses subordonnés pétitionnent contre lui : « M. Cuny nous met dans la pénible nécessité de vous en rendre compte. Hier, non content de se montrer ivre, en société de deux femmes publiques, il alla se vautrer avec elles et en uniforme d’officier de santé dans le lieu le plus mal famé de Bougie. » C’est ce qui s’appelle brûler la chandelle ! Il est réformé de l’armée. Après un retour rapide à Goin, il s’engage comme chirurgien dans l’armée de Mehmet Ali, pacha d’Egypte. Nous sommes en 1837. Il participe à la campagne de Syrie contre les ottomans. Il y achète même une esclave. Il apprend l’arabe. A Minieh au Liban, il  organise des vaccinations en formant 200 barbiers dans ce but. 11000 enfants sont vaccinés malgré l’hostilité des populations. Il se marie avec la fille d’un collègue dont il aura trois enfants. A Siout en Egypte, il entreprend la sauvegarde de monuments antiques. Le couple accueille Flaubert et son ami Du Camp. Cuny doit ensuite combattre une importante épidémie de choléra au Caire. Il se brouille avec le vice-roi qui le destitue. Cuny revient en France et passe sa thèse de médecine en 1853. Deux ans après il est de retour à Siout, le vice-roi ayant été assassiné. Chassé à nouveau en 1855, il décide de devenir explorateur au Soudan. En 1858, par bateau ou à dos de dromadaire, il descend le Nil, avec son fils de 11 ans. Il atteint El Obeid, au centre du Soudan. C’est le premier Français à parvenir dans cette région. Il étudie les peuples rencontrés et la topographie du pays. Il veut traverser le désert en direction du Darfour. Mais à El Fasher. il est retrouvé mort cinq jours après son arrivée. Les causes de cette mort restent hypothétiques, il serait ainsi soit mort de maladie, soit assassiné. Son fils Kamel, otage du sultan du Darfour, sera libéré deux ans plus tard.

This is a rather extraordinary life that this native of Goin will have lived. Born in 1811, he is the eldest son of a cart, Nicolas Cuny. Aimed at the priesthood, he was enrolled in the Seminary of Montigny but was not exceptional. Ordained a priest, he resigned a few weeks later and renounced clerical work. Cuny decided at that time to turn to medicine.

In 1831 he wrote to the Ministry of War, in order to obtain a pharmacy student at the Military Training Hospital in Metz. His application is successful. On 19 December, he committed himself for a minimum of seven years. After a ten-month internship and good results, he was appointed on 12 October 1832 as a sub-assistant-major pharmacist and was posted to Toulon and then, in September 1833, to Bône in Algeria. He then served in the Salpêtrière hospital. He is involved in the fight against fevers and cholera. Bad character, he provokes his leader into a duel. Then his subordinates petitioned against him: « Mr. Cuny puts us in the painful need to realize it. Yesterday, not content to be drunk, in the society of two public women, he went to wallow with them and in the uniform of a health officer in the most unfurled place of Candle. It’s called burning the candle! He was reformed from the army. After a quick return to Goin, he enlisted as a surgeon in the army of Mehmet Ali, Pasha of Egypt. It’s 1837. He participated in the campaign of Syria against the Ottomans. He even buys a slave there. He’s learning Arabic. In Minieh, Lebanon, he organized vaccinations by training 200 barbers for this purpose. 11,000 children are vaccinated despite the hostility of the population. He married the daughter of a colleague with whom he had three children. In Siout, Egypt, he undertook the preservation of ancient monuments. The couple welcomes Flaubert and his friend Du Camp. Cuny then had to fight a major cholera epidemic in Cairo. He scrambles with the viceroy who removes him. Cuny returned to France and passed his medical thesis in 1853. Two years later he is back in Siout, the viceroy having been assassinated. Hunted again in 1855, he decided to become an explorer in Sudan. In 1858, by boat or camel, he went down the Nile with his 11-year-old son. It reaches El Obeid in central Sudan. He was the first Frenchman to reach this region. He studies the peoples he met and the topography of the country. He wants to cross the desert towards Darfur. But to El Fasher. he was found dead five days after his arrival. The causes of his death remain hypothetical, so he would either die of illness or be murdered. His son Kamel, a hostage of the Sultan of Darfur, was released two years later.

Es ist ein außergewöhnliches Leben, das dieser Goin-Eingeborene durchgemacht hat. Geboren 1811, ist er der älteste Sohn eines Wagens, Nicolas Cuny. Für das Priesterseminar bestimmt, ist er im Seminar von Montigny eingeschrieben, aber es ist dort nicht außergewöhnlich. Er wurde zum Priester geweiht, trat einige Wochen später zurück und verzichtete auf die Kleriker. Cuny beschließt zu diesem Zeitpunkt, sich der Medizin zuzuwenden.

Im Jahr 1831 schrieb er an das Ministerium für Krieg, um zu erhalten, ein Apotheker in der Militärischen Instruktion Krankenhaus in Metz. Seine Bewerbung wird angenommen. Am 19. Dezember verpflichtet er sich für eine Mindestlaufzeit von sieben Jahren. Nach einem zehnmonatigen Praktikum und guten Ergebnissen wurde er am 12. Oktober 1832 zum Unteroffiziersapotheker ernannt und wurde nach Toulon und im September 1833 nach Bône in Algerien versetzt. Er dient dann im Krankenhaus von La Salpêtrière. Er beteiligt sich an der Bekämpfung von Fieber und Cholera. Ein schlechter Charakter, er provoziert seinen Anführer zum Duell. Dann petitionen seine Untergebenen gegen ihn: « Herr Cuny bringt uns in die schmerzliche Notwendigkeit, Ihnen das zu berichten. Gestern, nicht nur betrunken, in der Gesellschaft von zwei öffentlichen Frauen, ging er mit ihnen schwelgen und in Uniform als Gesundheitsbeamter an dem schlechtesten Ort von Kerze. « Das nennt man die Kerze verbrennt! Er ist von der Armee reformiert. Nach einer schnellen Rückkehr nach Goin engagiert er sich als Chirurg in der Armee von Mehmet Ali, Pascha aus Ägypten. Es ist 1837. Er nimmt am Syrien-Feldzug gegen die Osmanen teil. Er kauft sogar eine Sklavin. Er lernt Arabisch. In Minieh im Libanon organisiert er Impfungen und bildet 200 Barbier zu diesem Zweck aus. 11000 Kinder werden trotz der Feindseligkeit der Bevölkerung geimpft. Er heiratet die Tochter eines Kollegen, von dem er drei Kinder haben wird. In Siout, Ägypten, unternimmt er die Erhaltung der antiken Denkmäler. Das Paar begrüßt Flaubert und seinen Freund Du Camp. Cuny muss dann eine große Choleraepidemie in Kairo bekämpfen. Er verunreinigt sich mit dem Vizekönig, der ihn entmachtete. Cuny kehrte nach Frankreich zurück und verbringt 1853 seine Doktorarbeit über Medizin. Zwei Jahre später kehrte er nach Siout zurück, nachdem der Vizekönig ermordet wurde. 1855 wieder gejagt, beschloss er, Forscher im Sudan zu werden. 1858, mit einem Schiff oder auf einem Kamel, fuhr er den Nil hinunter, mit seinem 11-jährigen Sohn. Er erreicht El Obeid, zentral im Sudan. Er ist der erste Franzose, der es in diese Region geschafft hat. Er studierte die Völker und die Topographie des Landes. Er will die Wüste in Richtung Darfur überqueren. Aber in El Fasher. Er wurde fünf Tage nach seiner Ankunft tot aufgefunden. Die Ursachen dieses Todes sind nach wie vor hypothetisch, so wäre er entweder an Einer Krankheit gestorben oder ermordet worden. Sein Sohn Kamel, eine Geisel des Sultans von Darfur, wird zwei Jahre später freigelassen.

 

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La maison forte, mentionnée en 1348 comme appartenant alors à Ferry de Bacourt et à Ferry de Chambley, fut acquise à la fin du XVe siècle avec la seigneu­rie, par Pierre Baudoche, bourgeois de Metz, seigneur de Moulins. Sans doute reconstruit au XVIe siècle, il fut à plusieurs reprises occupé lors des guerres entre la Lorraine et la ville de Metz : en 1429 par les Lorrains, en 1444 par les Écorcheurs français, en 1590 par les Mes­sins. Il devient propriété, au début du XIXe, de Joseph-Augustin Saget, entrepreneur des fortifi­cations à Metz. Vers 1865, le château fut amputé d’une partie des ailes et de deux tours. Les dépendances remarquables, ainsi qu’en témoigne un dessin de Migette de 1833, disparurent après 1900. Les religieux bénédictins, auteurs au XVIIIe siècle de l’Histoire générale de Metz, le décrivent comme une belle forteresse. Ce que confirment le plan cadastral de 1824 et les vestiges importants qui subsistent. Dans son état ancien, c’était un bâtiment de plan carré, formé de trois corps en U autour d’une cour et cantonné de tours rondes, l’en­semble défendu par un large fossé. Au Sud, d’importantes dépendances étaient entou­rées par un mur de clôture cantonné de tours carrées, ouvert, du côté du village, par un portail en plein cintre du XVIe ou du XVIIe siècle, rasé pendant la dernière guerre mondiale.

The strong house, mentioned in 1348 as then belonging to Ferry de Bacourt and Ferry de Chambley, was acquired at the end of the 15th century with the lordship, by Pierre Baudoche, bourgeois of Metz, lord of Moulins.

Undoubtedly rebuilt in the 16th century, it was occupied several times during the wars between Lorraine and the city of Metz: in 1429 by the Lorrains, in 1444 by the French Sers, in 1590 by the Messins.

It became the property of Joseph-Augustin Saget, an entrepreneur of fortifications in Metz, in the early 19th century. Around 1865, the castle was amputated by part of the wings and two towers. Remarkable outbuildings, as evidenced by a drawing by Migette from 1833, disappeared after 1900. The Benedictine clerics, authors in the 18th century of the general history of Metz, describe it as a beautiful fortress. This is confirmed by the land plan of 1824 and the important remains that remain. In its former state, it was a square-plan building, formed of three U-shaped bodies around a courtyard and confined to round towers, all defended by a large ditch. To the south, large outbuildings were surrounded by a fence wall contained of square towers, opened, on the village side, by a 16th or 17th century hanger gate, razed during the last world war.

Das 1348 als zu Ferry de Bacourt und ferry de Chambley gehörende Haus wurde im späten 15. Jahrhundert mit der Herrschaft von Pierre Baudoche, Bourgeois de Metz, Herr von Moulins, erworben.

Zweifellos wurde er im 16. Jahrhundert wieder aufgebaut und wurde in den Kriegen zwischen Lothringen und der Stadt Metz mehrmals besetzt: 1429 von den Lothringern, 1444 von den französischen Häuten, 1590 von den Messinern.

Zu Beginn des 19. Jahrhunderts wurde er Eigentum von Joseph-Augustin Saget, dem Bauunternehmer der Befestigungsanlagen in Metz. Um 1865 wurde das Schloss mit einem Teil der Flügel und zwei Türmen amputiert. Die bemerkenswerten Nebengebäude, wie eine Zeichnung von Migette aus dem Jahre 1833 zeigt, verschwanden nach 1900. Die Religiösen Benediktiner, Autoren im achtzehnten Jahrhundert der allgemeinen Geschichte von Metz, beschreiben es als eine schöne Festung. Das bestätigen der Katastplan von 1824 und die großen Überreste, die noch übrig sind. In seinem alten Zustand war es ein quadratisches Gebäude, bestehend aus drei U-Körpern um einen Hof und beschränkt von runden Türmen, das ganze durch einen großen Graben verteidigt. Im Süden waren wichtige Nebengebäude von einer von quadratischen Türmen umgebenen Zaunmauer umgeben, die auf der Seite des Dorfes durch ein Tor mitten im 16. oder 17. Jahrhundert geöffnet wurde, das während des letzten Weltkriegs abgerissen wurde.

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