Rehainviller
Durée visite : 20 minutes
Moyen : Pédestre
Une présence préhistorique est attestée. Il est fait première mention de Regisvillare en 1152. Il existait une léproserie au lieu-dit Chaufontaine vers 1238. Une léproserie est un lieu d’isolement des malades de la lèpre. On trouve également les mots de ladrerie ou maladrerie. Au début du XIIIe siècle, le testament du roi Louis VIII dénombre 2 000 léproseries dans le Royaume de France. Le village disparut sans doute au XVIIe, victime de la Guerre de Trente Ans. Il ne laissait qu’un hameau autour du château et de sa ferme. Le village subit des destructions en 1914-1918.
A prehistoric presence is attested. Regisvillare was first mentioned in 1152. There was a leprosy at Chaufontaine around 1238. A leprosy is a place of isolation for leprosy patients. There are also the words of the word the garden or the sickness. At the beginning of the 13th century, the will of King Louis VIII counted 2,000 leprosies in the Kingdom of France. The village probably disappeared in the 17th century, a victim of the Thirty Years’ War. He left only one hamlet around the castle and his farm. The village suffered destruction in 1914-1918.
Eine prähistorische Präsenz ist belegt. Es ist die erste Erwähnung von Regisvillare in 1152. Es gab eine Leprakolonie am Ort Chaufontaine um 1238. Ein Leprageschäft ist ein Ort der Isolation der Leprakranken. Man findet auch die Worte ladrerie ou maladrerie. Zu Beginn des 13. Jahrhunderts zählte das Testament von König Ludwig VIII. 2000 Leprakolonien im Königreich Frankreich. Das Dorf verschwand wahrscheinlich im 17. Jahrhundert, Opfer des Dreißigjährigen Krieges. Er hinterließ nur einen Weiler rund um das Schloss und seinen Hof. Das Dorf wurde in den Jahren 1914-1918 zerstört.
Les habitants de Rehainviller s’appellent les Rehainvillois et les Rehainvilloises.
The inhabitants of Rehainviller are called Rehainvillois and Rehainvilloises.
Die Einwohner von Rehainviller heißen Rehainvillois und Rehainvilloises.
Les points de visites
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Au bout d’un chemin écarté, au-delà de la voie ferrée, se trouve le château d’Adoménil. C’était, avant la guerre de Trente ans, un petit village. Mathieu de la Haye, sieur des Salles, gentilhomme ordinaire de la chambre du duc de Lorraine, y fit d’importantes acquisitions en 1616. Le duc l’autorisa à prendre un fil d’eau dans la Meurthe, pour les commodités de la maison qu’il voulait construire. Cet édifice est sans doute le château qui existe encore aujourd’hui, construction à quatre tourelles d’angles bastionnées, haute de trois niveaux. Toutes les ouvertures ont été faites ou remaniées au XIXe siècle. Les fossés ont été comblés. La chapelle castrale se dresse un peu à l’écart, intéressant petit bâtiment hexagonal à l’extérieur, rond à l’intérieur, couvert en coupole, avec un décor de pilastres ioniques. Ses statues sont plus grandes que nature. Elles représentent les quatre Évangélistes, sainte Catherine et un saint roi. Restaurée fortement au XIXe, cette chapelle pourrait remonter au XVIIe. La famille Guérin, propriétaire de la faïencerie de Lunéville, racheta le château en 1888. Elle fit quelques aménagements, puis le transmit par mariage au baron de Ravinel. Il fut vendu au propriétaire actuel en 1978, qui l’affilia aux Relais & Châteaux.
At the end of a wide path, beyond the railway, is the castle of Adomitile. It was, before the Thirty Years’ War, a small village. Mathieu de la Haye, Sieur des Salles, an ordinary gentleman in the chamber of the Duke of Lorraine, made major acquisitions there in 1616. The Duke allowed him to take a water in the Meurthe, for the conveniences of the house he wanted to build. This building is probably the castle that still exists today, a construction with four turrets of bastioned corners, high of three levels. All openings were made or redesigned in the 19th century. The gaps have been closed. The castral chapel stands a little apart, interesting little hexagonal building on the outside, round on the inside, covered in a dome, with a decoration of ionic pilasters. His statues are larger than life. They represent the four Evangelists, Saint Catherine and a holy king. Restored heavily in the 19th century, this chapel could date back to the 17th century. The Guerin family, owner of the lunéville earthenware factory, bought the castle in 1888. She made some adjustments, then passed it on by marriage to the Baron of Ravinel. It was sold to the current owner in 1978, who affiliated it with the Relais-Châteaux.
Am Ende eines weggespreizten Weges, jenseits der Gleise, befindet sich das Schloss von Adoménil. Es war vor dem Dreißigjährigen Krieg ein kleines Dorf. Mathieu de la Den Haag, Herr des Salles, gewöhnlicher Herr des Zimmers des Herzogs von Lothringen, erwar sen dort im Jahr 1616 bedeutende Anschaffungen. Der Herzog erlaubte ihm, einen Wasserfaden in der Meurthe zu nehmen, für die Annehmlichkeiten des Hauses, das er bauen wollte. Dieses Gebäude ist zweifellos das Schloss, das heute noch existiert, vier Turmturme von Hochwinkeln, hoch drei Ebenen. Alle Öffnungen wurden im 19. Jahrhundert gemacht oder überarbeitet. Die Gräben wurden überbrückt. Die kastralische Kapelle steht ein wenig abseits, interessante kleine sechseckige Gebäude außen, rund im Inneren, bedeckt in einer Kuppel, mit einem Dekor von ionischen Pilaster. Seine Statuen sind größer als die Natur. Sie repräsentieren die vier Evangelisten, die hl. Katharina und einen heiligen König. Diese Kapelle wurde im 19. Jahrhundert stark restauriert und könnte bis ins 17. Jahrhundert zurückgehen. Die Familie Guérin, Eigentümerin der Kaizerei von Lunéville, kaufte das Schloss im Jahr 1888. Sie machte ein paar Umbauten und übergab ihn dann per Ehe an den Baron von Ravinel. Er wurde 1978 an den heutigen Besitzer verkauft, der ihn den Relais & Châteaux anschließe.