Bergheim – La ville

Durée visite : 150 minutes
Moyen : Pédestre

Durée visite : 175 minutes
Moyen : Vélo

Les origines de Bergheim demeurent incertaines, mais l’occupation du site à l’époque romaine est attestée par la découverte, en 1848, d’une mosaïque romaine, conservée au musée d’Unterlinden à Colmar. Durant le haut Moyen Âge, le site semble avoir été primitivement un bien royal. Bergheim multiplia, au fil des siècles, ses possesseurs. En 945, le roi Othon 1er remet Bergheim au duc de Lorraine qui, en 968, en fait don à l’évêque de Toul. Au début du XIIe siècle, la possession devient le fief des comtes d’Eguisheim-Dabo ; elle revient ensuite une nouvelle fois au duc de Lorraine après l’extinction de cette lignée. En 1287, les seigneurs de Ribeaupierre en sont les maîtres. En 1311, Henri de Ribeaupierre élève Bergheim au rang de ville et commence la construction des for­tifications. Dès 1313, le bien est vendu avec Rodern et Rorschwihr à la maison de Habsbourg, laquelle, à court d’ar­gent, fait successivement passer le bourg dans les biens de divers nobles. Bergheim devient à nouveau une possession des Habsbourg à la fin du XVe siècle. Par les traités de Westphalie signés en 1648, la ville revient au roi de France. En 1639, Louis XIII la donne au seigneur de Nassau-Sarrebruck et, en 1642, au duc de Montausier. Celui-ci la vend en 1679 au comte palatin Christian II de Birkenfeld, héritier de la seigneurie de Ribeaupierre. Jusqu’à la Révolution, Bergheim est le chef-lieu de l’un des huit bailliages des Ribeaupierre. Au XIXe siècle, une tuilerie et l’exploitation du gypse favorisent l’im­plantation de petites industries qui ont eu du mal à subsister. En 1890, un médecin strasbourgeois achète à huit pro­priétaires le monticule de l’ancien châ­teau de Reichenberg. Quelques faces du mur servent de base à la réédification du château actuel.  L’agriculture et la viticulture demeurent les principales activités de ce bourg, qui s’est étendu au-delà des remparts au XXe siècle.

The origins of Bergheim remain uncertain but the occupation of the site in the Roman era is attested by the discovery, in 1848, of a Roman mosaic, preserved at the Unterlinden museum in Colmar. During the early Middle Ages, the site appears to have originally been a royal property. In 945, King Otto I handed Bergheim over to the Duke of Lorraine who, in 968, donated it to the Bishop of Toul. At the beginning of the 12th century, the possession became the stronghold of the counts of Eguisheim-Dabo; it then returned once again to the Duke of Lorraine after the extinction of this lineage. In 1287, the lords of Ribeaupierre were the masters. In 1311, Henri de Ribeaupierre elevated Bergheim to the status of a town and began the construction of fortifications. From 1313, the property was sold with Rodern and Rorschwihr to the House of Habsburg, which, short of money, successively passed the town into the possessions of various nobles. Bergheim once again became a Habsburg possession at the end of the 15th century. By the Treaties of Westphalia signed in 1648, the city returned to the King of France. In 1639, Louis XIII gave it to the lord of Nassau-Sarrebruck and, in 1642, to the Duke of Montausier. He sold it in 1679 to Count Palatine Christian II of Birkenfeld, heir to the lordship of Ribeaupierre. This acquisition only became definitive in 1717 with Christian III of Birkenfeld. Until the Revolution, Bergheim was the capital of one of the eight bailiwicks of Ribeaupierre. In the 19th century, a tile factory and the exploitation of gypsum encouraged the establishment of small industries which had difficulty surviving. In 1890, a Strasbourg doctor bought the mound of the old Reichenberg castle from eight owners. Some faces of the wall serve as the basis for the re-construction of the current castle.  Agriculture and viticulture remain the main activities of this town, which extended beyond the ramparts in the 20th century.

Die Ursprünge von Bergheim bleiben ungewiss, aber die Besetzung des Ortes in der Römerzeit wird durch die Entdeckung eines römischen Mosaiks aus diesem Jahrhundert im Jahr 1848 bestätigt, das im Unterlinden-Museum in Colmar aufbewahrt wird. Im frühen Mittelalter scheint der Ort ursprünglich königlicher Besitz gewesen zu sein. Im Jahr 945 übergab König Otto I. Bergheim dem Herzog von Lothringen, der es 968 dem Bischof von Toul schenkte. Zu Beginn des 12. Jahrhunderts wurde der Besitz zur Hochburg der Grafen von Eguisheim-Dabo; Nach dem Aussterben dieses Geschlechts fiel es wieder an den Herzog von Lothringen. Im Jahr 1287 waren die Herren von Ribeaupierre die Herren. Im Jahr 1311 erhob Henri de Ribeaupierre Bergheim zur Stadt und begann mit dem Bau von Befestigungsanlagen. Ab 1313 wurde das Anwesen zusammen mit Rodern und Rorschwihr an das Haus Habsburg verkauft, das aus Geldmangel die Stadt nach und nach in den Besitz verschiedener Adliger überging. Ende des 15. Jahrhunderts gelangte Bergheim wieder in den Besitz der Habsburger. Durch die 1648 unterzeichneten Westfälischen Verträge fiel die Stadt wieder an den König von Frankreich. 1639 schenkte Ludwig XIII. es dem Herrn von Nassau-Saarbrücken und 1642 dem Herzog von Montausier. Er verkaufte es 1679 an Pfalzgraf Christian II. von Birkenfeld, Erbe der Herrschaft Ribeaupierre. Endgültig wurde dieser Erwerb erst 1717 mit Christian III. von Birkenfeld. Bis zur Revolution war Bergheim die Hauptstadt einer der acht Vogteien von Ribeaupierre. Im 19. Jahrhundert förderten eine Ziegelfabrik und die Ausbeutung von Gips die Gründung kleiner Industrien, die nur schwer überleben konnten. Im Jahr 1890 kaufte ein Straßburger Arzt den Hügel der alten Burg Reichenberg von acht Besitzern. Einige Seiten der Mauer dienen als Grundlage für den Wiederaufbau des heutigen Schlosses.  Landwirtschaft und Weinbau bleiben die Hauptaktivitäten dieser Stadt, die sich im 20. Jahrhundert über die Stadtmauer hinaus erstreckte.

« D’argent à deux tour carrées pavillonnées de gueules maçonnées de sable et enfermées dans une enceinte ronde de murailles crénelées aussi de gueules, maçonnée et ouverte de deux portes de sable, un mont de trois coupeaux de sinople posé entre les tours, celui du milieu sommé d’un écusson d’azur à trois fleurs de lys d’or. »

Armes parlantes

« Argent with two square towers flagged Gules masonry Sable and enclosed in a round enclosure of crenellated walls also Gules, masonry and open by two gates Sable, a mount of three slices Vert placed between the towers, that of the center surmounted by an escutcheon Azure with three fleur-de-lys Gold. »

Talking Weapons

Argent mit zwei quadratischen Türmen, geflaggt Gules-Mauerwerk Sable und eingeschlossen in einem runden Gehäuse aus zinnenbewehrten Mauern, ebenfalls Gules, Mauerwerk und offen durch zwei Tore Sable, ein Berg aus drei Scheiben Vert zwischen den Türmen platziert, der in der Mitte von einem Wappenschild Azure überragt wird mit drei Lilien Golden. »

Sprechende Waffen

Les habitants et les habitantes de Bergheim s’appellent les Bergheimois et les Bergheimoises.

The inhabitants of Bergheim are called Bergheimois and Bergheimoises.

Die Einwohner von Bergheim werden Bergheimois und Bergheimoises genannt.

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Les points de visites

 

Le tanzlinde est un tilleul de danse. Il fût planté en 1313, pour célébrer les privilèges accordés à Bergheim, par les Habsbourg :droits de justice, d’asile, de monnaie et de péage. On festoyait à l’abri de ses branches. En 1848, le Comité révolutionnaire haranguait la foule ici. Une béquille rappelle les séquelles d’un incendie en 1917. Il mesure 17 mètres de haut pour 6,3 de circonférénce.

The tanzlinde is a dance basswood. It was planted in 1313, to celebrate the privileges granted to Bergheim by the Habsburgs: rights of justice, asylum, currency and tolls. We celebrated in the shelter of its branches. In 1848, the Revolutionary Committee harangued the crowd here. A crutch recalls the after-effects of a fire in 1917. It measures 17 meters high and 6.3 meters in circumference.

Die Tanzlinde ist eine Tanzlinde. Es wurde 1313 zur Feier der Privilegien angelegt, die Bergheim von den Habsburgern gewährt wurden: Recht auf Gerechtigkeit, Asyl, Währung und Zölle. Wir feierten im Schutz seiner Zweige. Im Jahr 1848 hielt das Revolutionskomitee hier eine Ansprache an die Menge. Eine Krücke erinnert an die Nachwirkungen eines Brandes im Jahr 1917.
Es ist 17 Meter hoch und hat einen Umfang von 6,3 Metern.

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Ancienne entrée ouest, cette porte haute, ou Obertor, est la seule tour-porte conservée sur les trois que comptait l’enceinte de la ville. Le porche a été remanié, d’une part par la transformation de l’arc extérieur en arc en plein cintre et, d’autre part par le murage, entre les deux contreforts, de l’espace qui portait les rainures de la herse. La face intérieure, coté ville, comprenait à l’origine un comblement à colombage. On distingue encore les quatre ressauts verticaux des étages, malgré le murage des deux premiers niveaux au XVIe siècle. Reconstruits à colombage, les deux derniers étages sont récents.  Ne manquez pas  le Lack’mi . Il vous accueille en vous montrant ses fesses. Depuis 1361, Bergheim accordait l’asile à tout coupable de crimes et délits non prémédités ou excusables. Ainsi, en 1534, un habitant du village de Rodern trouva refuge à Bergheim. Reconnaissant, il édifia un petit monument avec un personnage narguant ses poursuivants en dévoilant son derrière. Peut-être est-ce lui qui a distrait le conducteur du char américain qui, en 1945, a éraflé le mur de la Tour ? La double enceinte qui entoure la ville est conservée sur presque toute sa longueur, soit environ 2 kilomètres. Séparée de l’enceinte extérieure par un fossé, l’enceinte intérieure et les portes hautes ont été construites vers 1312, lors de la première phase de construction. Sept tours sont tournées vers le nord, zone jugée la plus dangereuse. Quand les fortifications ont été désaffectées, certaines tours ont été transformées en habitation. Le fossé extérieur est alimenté par les eaux du Bergenbach.

Former west entrance, this high gate, or Obertor, is the only preserved gate tower of the three that made up the city wall. The porch was remodeled by transforming the exterior arch into a semicircular arch and by walling up, between the two buttresses, the space which carried the grooves of the portcullis. The interior side, town side, originally included half-timbered filling. We can still see the four vertical projections of the floors, despite the walling of the first two levels in the 16th century. Rebuilt half-timbered, the last two floors are recent. Don’t miss Lack’mi. He welcomes you by showing you his buttocks. Since 1361, Bergheim had granted the right of asylum to any person guilty of crimes and misdemeanors that were not premeditated or excusable.Thus, in 1534, a resident of the village of Rodern found refuge in Bergheim. Grateful, he built a small monument showing a character taunting his pursuers by presenting his behind. The double wall which surrounds the city is preserved over almost its entire length, approximately 2 kilometers. Separated from the outer enclosure by a ditch, the inner enclosure and the upper gates were built around 1312, during the first phase of construction. When the fortifications were decommissioned, some towers were transformed into homes. The outer ditch is fed by the waters of the Bergenbach.

Dieses hohe Tor oder Obertor, ehemaliger Westeingang, ist der einzige erhaltene der drei Tortürme, aus denen die Stadtmauer bestand. Die Veranda wurde umgestaltet, indem der Außenbogen in einen Halbkreisbogen umgewandelt und der Raum, der die Rillen des Fallgitters trug, zwischen den beiden Strebepfeilern zugemauert wurde. Die Innenseite, stadtseitig, war ursprünglich mit Fachwerkfüllung versehen. Trotz der Ummauerung der ersten beiden Stockwerke im 16. Jahrhundert sind noch die vier vertikalen Vorsprünge der Stockwerke zu sehen. Fachwerkneubau, die letzten beiden Stockwerke sind neu. Lassen Sie sich Lack’mi nicht entgehen. Er begrüßt Sie, indem er Ihnen sein Gesäß zeigt. Seit 1361 gewährte Bergheim jedem das Asylrecht, der sich Verbrechen und Vergehen schuldig gemacht hatte, die weder vorsätzlich noch entschuldbar waren. So fand 1534 ein Bewohner des Dorfes Rodern in Bergheim Zuflucht. Aus Dankbarkeit errichtete er ein kleines Denkmal, das einen Charakter zeigt, der seine Verfolger verspottet, indem er seinen Hintern präsentiert. Die Doppelmauer, die die Stadt umgibt, ist auf fast ihrer gesamten Länge, etwa 2 Kilometer, erhalten. Die durch einen Graben von der äußeren Umfriedung getrennte innere Umfriedung und die oberen Tore wurden um 1312 in der ersten Bauphase errichtet. Als die Befestigungsanlagen aufgelöst wurden, wurden einige Türme in Wohnhäuser umgewandelt. Der Außengraben wird vom Wasser des Bergenbachs gespeist.

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                    3 – Tour Deiss

4 – Tour Fahrer

5 – Tour Wotling

6 – Tour de la poudrière

7 – Tour Schwein

8 – Tour Guet

9 – Tour rectangulaire à pans de bois

 

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L’église de l’Assomption s’élève à l’emplacement d’une ancienne église romane, incendiée en 1287. Construit entre 1320 et 1347, le chœur  comprend une abside à cinq pans, flanquée au nord d’une sacristie voûtée d’une croisée d’ogives.  Le collatéral nord date du XIVe siècle, le sud remonte au XVe. L’aspect actuel de la nef est dû à des transformations réalisées en 1718. Le vaisseau central est alors couvert d’un plafond, et est séparé des bas-côtés par des arcs en plein cintre, portés par des colonnes toscanes. Les parties les plus anciennes de l’église abritent des peintures murales d’époque médiévale, restaurées en 1957. Elles représentent les symboles des évangélistes (voûte du porche), le Christ au mont des Oliviers (mur nord du porche), saint Georges terrassant le dragon avec les armes de la famille de Hattstatt (collatéral nord), la Crucifixion (mur gouttereau sud), la Crucifixion et le voile de Véronique (mur gouttereau nord). Enfin, dans le collatéral sud est peinte une autre Crucifixion. Le tympan du portail occidental conserve une Adoration des Mages. La scène représente le moment où Melchior, Balthazar et Gaspar, parvenus à Bethléem après avoir suivi l’étoile depuis l’Orient, découvrent l’Enfant Jésus dans les bras de Marie et se prosternent devant lui. Ils offrent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. A noter que les Rois ne sont pas encore représentés selon une ethnie particulière. Le mur gouttereau sud abrite des fragments d’un Jugement dernier du XIVe siècle. La chapelle des Quatorze-Saints-Auxiliaires est construite sur le flanc sud de l’église en 1819, et la sacristie de style néogothique date de la fin du XIXe siècle.

The Church of the Assumption stands on the site of an old Romanesque church, which burned down in 1287. Built between 1320 and 1347, the choir includes a five-sided apse, flanked to the north by a vaulted sacristy of a cross of warheads.  The north aisle dates from the 14th century, the south dates back to the 15th century. The current appearance of the nave is due to transformations carried out in 1718. The central nave is then covered by a ceiling, and is separated from the side aisles by semicircular arches, supported by Tuscan columns. The oldest parts of the church house wall paintings from the medieval period, restored in 1957. They represent the symbols of the evangelists (vault of the porch), Christ on the Mount of Olives (north wall of the porch), Saint George slaying the dragon with the arms of the Hattstatt family (north aisle), the Crucifixion (south gutter wall), the Crucifixion and Veronica’s veil (north gutter wall). Finally, in the south aisle another Crucifixion is painted. The tympanum of the western portal preserves an Adoration of the Magi. The scene represents the moment when Melchior, Balthazar and Gaspar, arriving in Bethlehem after following the star from the East, discover the Child Jesus in the arms of Mary and prostrate themselves before him. They offer gold, frankincense and myrrh. Note that the Kings are not yet represented according to a particular ethnicity. The southern gutter wall houses fragments of a Last Judgment from the 14th century. The chapel of the Fourteen-Saints-Auxiliaries was built on the south side of the church in 1819, and the neo-Gothic sacristy dates from the end of the 19th century.

Die Kirche Mariä Himmelfahrt steht an der Stelle einer alten romanischen Kirche, die 1287 niederbrannte. Der zwischen 1320 und 1347 erbaute Chor umfasst eine fünfseitige Apsis, die im Norden von einer gewölbten Sakristei mit einem Sprengkopfkreuz flankiert wird.  Das nördliche Seitenschiff stammt aus dem 14. Jahrhundert, das südliche aus dem 15. Jahrhundert. Das heutige Aussehen des Kirchenschiffs ist auf Umbauten im Jahr 1718 zurückzuführen. Das Mittelschiff ist damals mit einer Decke bedeckt und von den Seitenschiffen durch Rundbögen getrennt, die von toskanischen Säulen getragen werden. Die ältesten Teile der Kirche beherbergen Wandmalereien aus dem Mittelalter, die 1957 restauriert wurden. Sie stellen die Symbole der Evangelisten (Gewölbe der Vorhalle), Christus auf dem Ölberg (Nordwand der Vorhalle) und des Heiligen Georg dar, der den Heiligen erschlägt Drache mit dem Wappen der Familie Hattstatt (nördliches Seitenschiff), die Kreuzigung (südliche Dachrinnewand), die Kreuzigung und der Schleier der Veronika (nördliche Dachrinnewand). Schließlich ist im Südschiff eine weitere Kreuzigung gemalt. Das Tympanon des Westportals bewahrt eine Anbetung der Heiligen Drei Könige. Die Szene stellt den Moment dar, in dem Melchior, Balthasar und Kaspar, die dem Stern aus dem Osten gefolgt sind und in Bethlehem ankommen, das Jesuskind in den Armen Mariens entdecken und sich vor ihm niederwerfen. Sie bieten Gold, Weihrauch und Myrrhe an. Beachten Sie, dass die Könige noch nicht nach einer bestimmten ethnischen Zugehörigkeit dargestellt werden.
Die südliche Dachrinnenwand beherbergt Fragmente eines Jüngsten Gerichts aus dem 14. Jahrhundert. An der Südseite der Kirche wurde 1819 die Kapelle der Vierzehnheiligen errichtet, die neugotische Sakristei stammt aus dem Ende des 19. Jahrhunderts.

 

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L’église de l’Assomption s’élève à l’emplacement d’une ancienne église romane, incendiée en 1287. Construit entre 1320 et 1347, le chœur  comprend une abside à cinq pans, flanquée au nord d’une sacristie voûtée d’une croisée d’ogives.  Le collatéral nord date du XIVe siècle, le sud remonte au XVe siècle. L’aspect actuel de la nef est dû à des transformations réalisées en 1718. Le vaisseau central est alors couvert d’un plafond, et est séparé des bas-côtés par des arcs en plein cintre, portés par des colonnes toscanes. Les parties les plus anciennes de l’église abritent des peintures murales d’époque médiévale, restaurées en 1957. Elles représentent les symboles des évangélistes (voûte du porche), le Christ au mont des Oliviers (mur nord du porche), saint Georges terrassant le dragon avec les armes de la famille de Hattstatt (collatéral nord), la Crucifixion (mur gouttereau sud), la Crucifixion et le voile de Véronique (mur gouttereau nord)  Enfin, dans le collatéral sud est peinte une autre Crucifixion. Le tympan du portail occidental conserve une Adoration des Mages. La scène représente le moment où Melchior, Balthazar et Gaspar, parvenus à Bethléem après avoir suivi l’étoile depuis l’Orient, découvrent l’Enfant Jésus dans les bras de Marie et se prosternent devant lui. Ils offrent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. A noter que les Rois ne sont pas encore représentés selon une ethnie particulière. Le mur gouttereau sud abrite des fragments d’un Jugement dernier du XIVe siècle. La chapelle des Quatorze-Saints-Auxiliaires est construite sur le flanc sud de l’église en 1819, et la sacristie de style néogothique date de la fin du XIXe siècle.

The Church of the Assumption stands on the site of an old Romanesque church, which burned down in 1287. Built between 1320 and 1347, the choir includes a five-sided apse, flanked to the north by a vaulted sacristy of a cross of warheads. The north aisle dates from the 14th century, the south dates back to the 15th century. The current appearance of the nave is due to transformations carried out in 1718. The central nave is then covered by a ceiling, and is separated from the side aisles by semicircular arches, supported by Tuscan columns. The oldest parts of the church house wall paintings from the medieval period, restored in 1957. They represent the symbols of the evangelists (vault of the porch), Christ on the Mount of Olives (north wall of the porch), Saint George slaying the dragon with the arms of the Hattstatt family (north aisle), the Crucifixion (south gutter wall), the Crucifixion and Veronica’s veil (north gutter wall)  Finally, in the south aisle another Crucifixion is painted. The tympanum of the western portal preserves an Adoration of the Magi. The scene represents the moment when Melchior, Balthazar and Gaspar, arriving in Bethlehem after following the star from the East, discover the Child Jesus in the arms of Mary and prostrate themselves before him. They offer gold, frankincense and myrrh. Note that the Kings are not yet represented according to a particular ethnicity. The southern gutter wall houses fragments of a Last Judgment from the 14th century. The chapel of the Fourteen-Saints-Auxiliaries was built on the south side of the church in 1819, and the neo-Gothic sacristy dates from the end of the 19th century.

Die Kirche Mariä Himmelfahrt steht an der Stelle einer alten romanischen Kirche, die 1287 niederbrannte. Der zwischen 1320 und 1347 erbaute Chor umfasst eine fünfseitige Apsis, die im Norden von einer gewölbten Sakristei mit einem Sprengkopfkreuz flankiert wird.  Das nördliche Seitenschiff stammt aus dem 14. Jahrhundert, das südliche aus dem 15. Jahrhundert. Das heutige Aussehen des Kirchenschiffs ist auf Umbauten im Jahr 1718 zurückzuführen. Das Mittelschiff ist damals mit einer Decke bedeckt und von den Seitenschiffen durch Rundbögen getrennt, die von toskanischen Säulen getragen werden. Die ältesten Teile der Kirche beherbergen Wandmalereien aus dem Mittelalter, die 1957 restauriert wurden. Sie stellen die Symbole der Evangelisten (Gewölbe der Vorhalle), Christus auf dem Ölberg (Nordwand der Vorhalle) und des Heiligen Georg dar, der den Heiligen erschlägt Drache mit dem Wappen der Familie Hattstatt (nördliches Seitenschiff), die Kreuzigung (südliche Dachrinnewand), die Kreuzigung und der Schleier der Veronika (nördliche Dachrinnewand)  Schließlich ist im Südschiff eine weitere Kreuzigung gemalt. Das Tympanon des Westportals bewahrt eine Anbetung der Heiligen Drei Könige. Die Szene stellt den Moment dar, in dem Melchior, Balthasar und Kaspar, die dem Stern aus dem Osten gefolgt sind und in Bethlehem ankommen, das Jesuskind in den Armen Mariens entdecken und sich vor ihm niederwerfen. Sie bieten Gold, Weihrauch und Myrrhe an. Beachten Sie, dass die Könige noch nicht nach einer bestimmten ethnischen Zugehörigkeit dargestellt werden.
Die südliche Dachrinnenwand beherbergt Fragmente eines Jüngsten Gerichts aus dem 14. Jahrhundert. An der Südseite der Kirche wurde 1819 die Kapelle der Vierzehnheiligen errichtet, die neugotische Sakristei stammt aus dem Ende des 19. Jahrhunderts.

 

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Datant de 1550, l’ancien ossuaire est maintenant un musée. De nombreux procès pour sorcellerie ont eu lieu à Bergheim entre 1582 et 1683. La Maison des Sorcières de la ville, ou Haxahus, retrace cette page de l’histoire grâce à une exposition permanente d’images, de gravures, d’archives et de films. Le bâtiment a servi d’école pour garçons entre 1767 et 1970. Les écoliers pouvaient méditer l’inscription du linteau de l’une des portes, on peut y lire en latin : Souviens-toi homme, ainsi passe la gloire du monde ; celui qui s’adonne au vice périt par le vice.

Dating from 1550, the former ossuary is now a museum. Numerous trials for witchcraft took place in Bergheim between 1582 and 1683. The town’s Witches’ House, or Haxahus, traces this page of history through a permanent exhibition of images, engravings, archives and movies. The building served as a school for boys between 1767 and 1970. Schoolchildren could meditate on the inscription on the lintel of one of the doors, which reads in Latin: Remember man, thus passes the glory of the world; he who indulges in vice perishes through vice.

Das ehemalige Beinhaus aus dem Jahr 1550 ist heute ein Museum. Zwischen 1582 und 1683 fanden in Bergheim zahlreiche Hexenprozesse statt. Das Hexenhaus der Stadt, Haxahus, zeichnet diese Seite der Geschichte anhand einer Dauerausstellung mit Bildern, Stichen, Archiven und Filmen nach. Das Gebäude diente zwischen 1767 und 1970 als Knabenschule. Schulkinder konnten über die Inschrift auf dem Türsturz einer der Türen meditieren, die auf Latein lautet: „Gedenke des Menschen, so vergeht die Herrlichkeit der Welt; Wer sich dem Laster hingibt, geht durch das Laster zugrunde.

 

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Cette demeure, sise 55 rue des Vignerons, possède une porte de style Renaissance, avec son linteau finement décoré. Son encadrement est lui aussi bien travaillé.

This house, located at 55, rue des Vignerons, has a Renaissance style door, with its finely decorated lintel. Its supervision is also well worked.

Dieses Haus befindet sich in der Rue des Vignerons 55 und verfügt über eine Tür im Renaissance-Stil mit einem fein verzierten Türsturz. Auch die Aufsicht ist gut getaktet.

 

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La réunion du Conseil Municipal du 10 mai 1865, en dehors de la fontaine de la rue des Vignerons et de celle de la rue du Maire Witzig, prévoit la construction d’une fontaine à deux becs, sur la Place du marché aux Echalas.   Les échalas sont des piquets de bois, de longueur variable servant à soutenir une plante, un arbuste, pendant les premières années de sa vie, mais surtout les ceps de vigne. Le bassin n’est pas rectangulaire comme celui des deux autres fontaines, mais octogonal.  Des  griffons à têtes humaines saillissent, en dehors de la pile.

The meeting of the Municipal Council of May 10, 1865, apart from the fountain on rue des Vignerons and that on rue du Maire Witzig, planned the construction of a fountain with two spouts, on the Place du Marché aux Echalas. Stakes are wooden stakes of varying length used to support a plant, a shrub, during the first years of its life, but especially vine stocks. The basin is not rectangular like that of the other two fountains, but octagonal.  Griffins with human heads  protrude outside the pile.

Auf der Sitzung des Gemeinderats vom 10. Mai 1865 wurde neben dem Brunnen in der Rue des Vignerons und dem in der Rue du Maire Witzig der Bau eines Brunnens mit zwei Wasserläufen auf dem Place du Marché aux Echalas geplant. Pfähle sind Holzpfähle unterschiedlicher Länge, die dazu dienen, eine Pflanze, einen Strauch, in den ersten Lebensjahren, insbesondere aber Weinstöcke, zu stützen. Das Becken ist nicht rechteckig wie bei den beiden anderen Brunnen, sondern achteckig.  Greifen mit Menschenköpfen ragen außerhalb des Stapels  heraus.

 

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Cet odonyme rappelle que Bergheim jouissait du droit de battre monnaie. Elevée au rang de ville libre sous la tutelle de Henri de Ribeaupierre, c’est en 1313 que Bergheim obtint le privilège de frapper la monnaie, le droit de refuge et le droit de perception de droits de douane.

This odonym recalls that Bergheim enjoyed the right to mint money. Raised to the rank of free city under the tutelage of Henri de Ribeaupierre, it was in 1313 that Bergheim obtained the privilege of minting coins, the right of refuge and the right to collect customs duties.

Dieses Odonym erinnert daran, dass Bergheim das Recht besaß, Geld zu prägen. Unter der Vormundschaft von Henri de Ribeaupierre, in den Rang einer freien Stadt erhoben, erhielt Bergheim 1313 das Privileg der Münzprägung, das Recht auf Zuflucht und das Recht, Zölle zu erheben.

 

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Située au 11, place Walter, cette grande demeure est l’ancien poêle des vignerons, c’est-à-dire le siège de cette corporation professionnelle. Notez ses fenêtres à meneaux avec encadrement en grès rose, surmontées d’un étage en pans de bois.

Located at 11, place Walter, this large residence is the former winegrowers’ stove, that is to say the headquarters of this professional corporation. Note its mullioned windows with pink sandstone frames, topped by a half-timbered floor.

Dieses große Wohnhaus befindet sich in der Place Walter 11 und ist der ehemalige Winzerofen, also der Hauptsitz dieses Berufsunternehmens. Beachten Sie die zweibogigen Fenster mit rosafarbenen Sandsteinrahmen und einem Fachwerkboden.

 

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Cette fontaine en grès date du XVIIe siècle. Elle comporte quatre arcades en ferronnerie, symétriques, qui partent du bassin octogonal vers la colonne centrale sculptée. Celle-ci est surmontée d’un chapeau dont le décor évoque le motif héraldique des coteaux, symboles de la montagne avoisinante, le Berg de Bergheim.

Charles Pêtre, pseudonym of Charles Pette, born in Metz in 1828, and died in Bourges in 1907, was a French sculptor associated with the School of Metz

This sandstone fountain dates from the 17th century. It has four symmetrical ironwork arches which extend from the octagonal basin towards the sculpted central column. This is topped with a hat whose decoration evokes the heraldic motif of the hillsides, symbols of the neighboring mountain, the Berg de Bergheim.

Dieser Sandsteinbrunnen stammt aus dem 17. Jahrhundert. Es verfügt über vier symmetrische Eisenbögen, die sich vom achteckigen Becken bis zur skulptierten Mittelsäule erstrecken. Darauf sitzt ein Hut, dessen Verzierung an das heraldische Motiv der Hügel erinnert, Symbole des benachbarten Berges Berg de Bergheim.

 

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Construits en grès entre 1762 et 1767, les bâtiments de l’actuel hôtel de ville abritait le poêle (ou salle) communal ou Herrenstube. Il est transformé en mairie à la Révolution. Le pignon baroque est surmonté de la statue de la Justice; elle rappelle l’époque où le conseil de la ville avait droit de juridiction. La balance communale est conservée devant le bâtiment.

Built in sandstone between 1762 and 1767, the buildings of the current town hall housed the communal stove (or room) or Herrenstube. It was transformed into a town hall during the Revolution. The baroque gable is topped by the statue of Justice which recalls the time when the city council had the right to jurisdiction. The municipal scale is kept in front of the building.

Die zwischen 1762 und 1767 aus Sandstein erbauten Gebäude des heutigen Rathauses beherbergten den Gemeinschaftsofen (oder die Herrenstube). Während der Revolution wurde es in ein Rathaus umgewandelt. Der barocke Giebel wird von der Statue der Gerechtigkeit gekrönt, die an die Zeit erinnert, als der Stadtrat das Recht auf Gerichtsbarkeit hatte. Der städtische Maßstab wird vor dem Gebäude aufbewahrt.

 

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Elevé en 1863 au 17-19, rue des Juifs, le bâtiment actuel remplace une synagogue détruite en 1840. La nef centrale de type néo-roman, est éclairée par de grandes arcades et des occuli aménagés au- dessus de la tribune des bas-côtés. L’ensemble architectural a pu être préservé malgré les déprédations nazies. Son portail est surmonté d’une inscription en hébreu, tirée d’Isaïe, et qui signifie : Ma maison sera dénommée Maison de prières pour tous les peuples.  Jusqu’au XIXe siècle, la communauté juive de Bergheim a été l’une des plus importantes d’Alsace. Vendue à la ville de Bergheim en 1992, la synagogue sert aujourd’hui pour des activités culturelles.

Built in 1863 at 17-19, rue des Jews, the current building replaces a synagogue destroyed in 1840, during the fire which ravaged the town. The central nave of neo-Romanesque type is lit by large arcades and windows fitted above the gallery of the side aisles. The architectural ensemble was able to be preserved despite Nazi depredations. Until the 19th century, the Jewish community of Bergheim was one of the largest in Alsace.

Das heutige Gebäude wurde 1863 in der Rue des Jews 17-19 erbaut und ersetzt eine Synagoge, die 1840 bei dem Stadtbrand zerstört wurde. Das Mittelschiff im neoromanischen Stil wird durch große Arkaden und Fenster beleuchtet, die über der Galerie der Seitenschiffe angebracht sind. Das architektonische Ensemble konnte trotz nationalsozialistischer Plünderungen erhalten bleiben. Bis zum 19. Jahrhundert war die jüdische Gemeinde Bergheim eine der größten im Elsass.

 

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Elle date de 1566. La façade présente un pignon en escalier. Toutes les ouvertures sont surmontées d’un motif de coquille Saint-Jacques.

It dates from 1566. The facade has a stepped gable. All openings are topped with a scallop shell motif.

Es stammt aus dem Jahr 1566. Die Fassade hat einen Treppengiebel. Alle Öffnungen sind mit einem Jakobsmuschelmotiv verziert.

 

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La façade présente des ouvertures aux encadrements uniformes, surmontées d’un motif baroque. La demeure a appartenu à la famille Naub.

The facade has openings with uniform frames, topped with a baroque motif. The residence belonged to the Naub family.

Die Fassade weist Öffnungen mit einheitlichen Rahmen auf, die mit einem barocken Motiv gekrönt sind. Die Residenz gehörte der Familie Naub.

 

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La façade présente des ouvertures aux encadrements uniformes, surmontées d’un motif baroque. La demeure a appartenu à la famille Naub.

The facade has openings with uniform frames, topped with a baroque motif. The residence belonged to the Naub family.

Die Fassade weist Öffnungen mit einheitlichen Rahmen auf, die mit einem barocken Motiv gekrönt sind. Die Residenz gehörte der Familie Naub.

 

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Située 4, rue du Haut-Koenigsbourg, cette demeure date de 1617. Elle comporte sur sa façade l’emblème d’un armurier : deux arquebuses croisées et les initiales M et C.

House of the Armorer or Clogmaker.
Located at 4, rue du Haut-Koenigsbourg, this residence dates from 1617. It has on its facade the emblem of an armourer: two crossed arquebuses and the initials C and M

Haus des Waffenschmieds oder Holzschuhmachers.
Diese Residenz befindet sich in der Rue du Haut-Koenigsbourg 4 und stammt aus dem Jahr 1617. An ihrer Fassade ist das Emblem eines Waffenschmieds zu sehen: zwei gekreuzte Arkebusen und die Initialen C und M.

 

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Situé au 4, Grand-Rue, il date de 1711. Il indique les heures, les demi-heures et les quarts d’heures, les changements de saison, la position du soleil dans le zodiaque, la nouvelle année – à quelques jours près- ainsi que l’heure du lever et du coucher du soleil. L’inscription latine du ruban signifie : Comme une ombre fuit la vie, fait en l’an 1711.

Located at 4, Grand-Rue, it dates from 1711. It indicates the hours, half-hours and quarter hours, the changes of season, the position of the sun in the zodiac, the new year – give or take a few days – as well as the time of sunrise and sunset. The Latin inscription on the ribbon means: Like a shadow flees life, made in the year 1711.

Es befindet sich in der Grand-Rue 4 und stammt aus dem Jahr 1711. Es zeigt die Stunden, Halbstunden und Viertelstunden, den Wechsel der Jahreszeiten, den Sonnenstand im Tierkreis, das neue Jahr – mehr oder weniger ein paar Tage – an. sowie die Zeit von Sonnenaufgang und Sonnenuntergang. Die lateinische Inschrift auf dem Band bedeutet: Wie ein Schatten flieht das Leben, hergestellt im Jahr 1711.

 

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Au 57, Grand-Rue se trouve cet édifice comportant plusieurs bâtiments. Il conserve ses galeries et ses escaliers en bois. L’aile la plus ancienne remonte à 1582. Au XVIIe siècle, la maison appartient au prévôt Georges Kentzinger. Elle passe plus tard au négociant juif Gabriel Sée, père du général Léopold Sée, né ici en 1822. Elle est désormais une résidence hôtelière.

At 57, Grand-Rue is this building comprising several buildings. It retains its galleries and wooden staircases. The oldest wing dates back to 1582. In the 17th century, the house belonged to the provost Georges Kentzinger. It later passed to the Jewish merchant Gabriel Sée, father of General Léopold Sée, born here in 1822. It is now a hotel residence.

In der Grand-Rue 57 befindet sich dieses Gebäude, das aus mehreren Gebäuden besteht. Die Galerien und Holztreppen sind erhalten geblieben. Der älteste Flügel stammt aus dem Jahr 1582. Im 17. Jahrhundert gehörte das Haus dem Propst Georges Kentzinger. Später ging es an den jüdischen Kaufmann Gabriel Sée über, Vater des 1822 hier geborenen Generals Léopold Sée. Heute ist es eine Hotelresidenz.

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