Brouvelieures
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Les traces du village dans l’histoire sont fort modestes. Au XIIIe siècle, Brouvelieures faisait partie du ban de Belmont, rattaché au bailliage de Bruyères. La justice relevait de la Dame Sonrière, c’est-à-dire l’une des cinq adjointes de l’abbesse de Remiremont. Sa chapelle, sous le vocable de L’Exaltation de la sainte Croix, était annexe de Grandvillers. Une commanderie de Templiers était implantée dans le bourg, reprise par les Hospitaliers après l’arrestation des premiers au début du XIVe siècle. On a longtemps raconté que la population locale avait massacré les Templiers réfugiés dans leurs bâtiments. En 1678, l’évêque de Toul érigea la chapelle de Brouvelieures en succursale de Grandvillers. Il ordonna que la messe y soit célébrée tous les dimanches, par le curé de Grandvillers. En 1870 eut lieu un affrontement entre francs-tireurs français et troupes prussiennes. Lieu de combats pendant la bataille de Bruyères en 1944, la ville a reçu la Croix de Guerre 39-45 le 11 novembre 1948.
The village’s historical traces are very modest. In the 13th century, Brouvelieures was part of the Belmont ban, attached to the bailiwick of Bruyères. Justice was the responsibility of Dame Sonrière, one of the five assistants of the abbess of Remiremont. Her chapel, dedicated to the Exaltation of the Holy Cross, was an annex of Grandvillers. A Templar commandery was established in the town, taken over by the Hospitallers after the former were arrested in the early 14th century. It was long said that the local population massacred the Templars who had taken refuge in their buildings. In 1678, the Bishop of Toul established the Brouvelieures chapel as a branch of Grandvillers. He ordered that mass be celebrated there every Sunday by the priest of Grandvillers. In 1870, a clash took place between French snipers and Prussian troops. The town was the scene of fighting during the Battle of Bruyères in 1944 and was awarded the Croix de Guerre 39-45 on 11 November 1948.
Die historischen Spuren des Dorfes sind sehr bescheiden. Im 13. Jahrhundert gehörte Brouvelieures zum Bann von Belmont und war der Vogtei Bruyères angeschlossen. Die Rechtsprechung oblag Dame Sonrière, einer der fünf Gehilfen der Äbtissin von Remiremont. Ihre Kapelle, die der Erhöhung des Heiligen Kreuzes geweiht war, war ein Nebengebäude von Grandvillers. In der Stadt wurde eine Templerkommandantur eingerichtet, die von den Johannitern übernommen wurde, nachdem diese zu Beginn des 14. Jahrhunderts verhaftet worden waren. Lange Zeit hieß es, die lokale Bevölkerung habe die in ihren Gebäuden Zuflucht suchenden Templer massakriert. 1678 gründete der Bischof von Toul die Kapelle von Brouvelieures als Zweigstelle von Grandvillers. Er ordnete an, dass dort jeden Sonntag vom Pfarrer von Grandvillers eine Messe zelebriert werden sollte. 1870 kam es zu einem Gefecht zwischen französischen Scharfschützen und preußischen Truppen. Die Stadt war 1944 Schauplatz von Kämpfen während der Schlacht von Bruyères und wurde am 11. November 1948 mit dem Croix de Guerre 39-45 ausgezeichnet.
D’azur à la croix de Lorraine d’or accostée des lettres B et V de même avec en pointe le sceau d’or du Temple au chef cousu de gueules à la croix d’or.
La croix de Lorraine indique que Brouvelieures dépendait du duc de Lorraine, elle est entourée des lettres B et V du nom de Brouvelieures (en latin Beronis Villa). Les templiers avaient une maison à Brouvelieures, c’est ce qui explique l’existence du sceau de l’ordre du Temple. Ce sceau représente un curieux édifice qui ressemble à la mosquée d’Omar, en haut une croix ancrée et tout autour : « S : TUBE : TEMPLI : XPI » (le sceau de la trompette du temple du Christ). La croix du chef nous indique que la paroisse de Brouvelieures est sous l’invocation de l’Exaltation de la Sainte Croix. Brouvelieures a été particulièrement éprouvée durant la dernière guerre, 140 immeubles ont été détruits ou endommagés, c’est pour cela que la ville a reçu la Croix de Guerre 39-45 le 11 Novembre 1948.
Azure, a gold cross of Lorraine flanked by the letters B and V, the same with the gold seal of the Temple at the base, a chief sewn gules with a gold cross.
The cross of Lorraine indicates that Brouvelieures was under the control of the Duke of Lorraine; it is surrounded by the letters B and V, the name Brouvelieures (in Latin, Beronis Villa). The Knights Templar had a house in Brouvelieures, which explains the existence of the seal of the Order of the Temple. This seal depicts a curious building resembling the Mosque of Omar, with an anchored cross at the top and all around it: « S: TUBE: TEMPLI: XPI » (the seal of the trumpet of the Temple of Christ). The cross at the chief indicates that the parish of Brouvelieures is under the invocation of the Exaltation of the Holy Cross. Brouvelieures was particularly hard hit during the last war, 140 buildings were destroyed or damaged, which is why the town received the Croix de Guerre 39-45 on November 11, 1948.
Das Lothringer Kreuz weist darauf hin, dass Brouvelieures dem Herzog von Lothringen unterstand; es ist von den Buchstaben B und V umgeben, dem Namen Brouvelieures (lateinisch: Beronis Villa). Die Tempelritter besaßen ein Haus in Brouvelieures, was die Existenz des Siegels des Tempelordens erklärt. Dieses Siegel zeigt ein merkwürdiges Gebäude, das der Omar-Moschee ähnelt, mit einem verankerten Kreuz an der Spitze und ringsherum: „S: TUBE: TEMPLI: XPI“ (das Siegel der Posaune des Tempels Christi). Das Kreuz am Hauptschild weist darauf hin, dass die Gemeinde Brouvelieures unter der Anrufung der Kreuzerhöhung steht. Brouvelieures wurde im letzten Krieg besonders schwer getroffen, 140 Gebäude wurden zerstört oder beschädigt, weshalb die Stadt am 11. November 1948 das Croix de Guerre 39–45 erhielt.
Les habitants et les habitantes de Brouvelieures s’appellent les Brouvillois et les Brouvilloises.
The inhabitants of Brouvelieures are called Brouvillois and Brouvilloises.
Die Einwohner von Brouvelieures werden Brouvillois und Brouvilloises genannt.
Les points de visites
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Brouvelieures a une particularité : elle possède deux monuments aux morts. La pyramide de granit rouge, haute de six mètres, a été érigée en 1898. Elle honore les francs-tireurs des corps-francs tombés face aux allemands, le 11 octobre 1870. Ce jour-là, 600 hommes du commandant Bourras, sans grande expérience du métier de soldat, tinrent tête à 3000 ennemis. Ils permirent ainsi aux troupes du général Cambriels de se retirer sur Besançon. Le socle, surmonté d’un Poilu victorieux, rend hommage aux natifs du village tués pendant les deux guerres mondiales.
Brouvelieures has a special feature: it has two war memorials. The six-meter-high red granite pyramid was erected in 1898. It honors the snipers of the Free Corps who fell against the Germans on October 11, 1870. On that day, 600 men under Commander Bourras, with little military experience, held off 3,000 enemies. They thus enabled General Cambriels’ troops to retreat to Besançon. The base, topped by a victorious Poilu, pays tribute to the villagers killed during the two world wars.
Brouvelieures hat eine Besonderheit: Es verfügt über zwei Kriegsdenkmäler. Die sechs Meter hohe Pyramide aus rotem Granit wurde 1898 errichtet. Sie erinnert an die Scharfschützen des Freikorps, die am 11. Oktober 1870 gegen die Deutschen fielen. An diesem Tag hielten 600 Mann unter Kommandant Bourras, trotz ihrer geringen militärischen Erfahrung, 3.000 Feinde in Schach. So ermöglichten sie den Truppen von General Cambriels den Rückzug nach Besançon. Der Sockel, gekrönt von einem siegreichen Poilu, ist eine Hommage an die in den beiden Weltkriegen gefallenen Dorfbewohner.
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Les Lumières entraîne de profonds changements, y compris dans les lieux d’inhumation. En Europe occidentale, au XVIIIe siècle, les cimetières installés au chevet des églises sont progressivement désaffectés. Sous l’influence du mouvement hygiéniste, les cimetières sont chassés des centres urbains. Les nouveaux sont implantés aux portes des villes ou des villages. Les épidémies de choléra contribuent fortement à ce changement. D’autre part, la progression des idées libérales confortent ce mouvement. Par exemple, des débats portent sur le droit des non-baptisés à être inhumés dans les cimetières publics. En France, dès 1770, les cimetières sont déplacés. La Révolution française transfère ensuite la propriété des cimetières paroissiaux à la commune: le cimetière municipal devient public. La loi du 14 novembre 1881 impose la neutralité. La législation interdit pour les inhumations toute distinction fondée sur des critères religieux et marque ainsi leur laïcisation. Ici, la grande croix date de 1896. Le croisillon de type celtique porte le Christ. Le fût est décoré de rosaces. Sur le socle, on peut déchiffrer « O crux ave spes unica » ou en français : la croix est l’unique espérance.
The Enlightenment brought about profound changes, including in burial sites. In Western Europe, in the 18th century, cemeteries installed at the apses of churches were gradually abandoned. Under the influence of the hygiene movement, cemeteries were driven out of urban centers. New ones were established at the gates of cities or villages. Cholera epidemics contributed significantly to this change. On the other hand, the spread of liberal ideas reinforced this movement. For example, debates focused on the right of the unbaptized to be buried in public cemeteries. In France, as early as 1770, cemeteries were relocated. The French Revolution then transferred ownership of parish cemeteries to the municipality: the municipal cemetery became public. The law of November 14, 1881 imposed neutrality. The legislation prohibited any distinction for burials based on religious criteria and thus marked their secularization. Here, the large cross dates from 1896. The Celtic-style crosspiece bears Christ. The shaft is decorated with rosettes. On the base, one can decipher « O crux ave spes unica » or in English: the cross is the only hope.
Die Aufklärung brachte tiefgreifende Veränderungen mit sich, auch im Bereich der Begräbnisstätten. In Westeuropa wurden im 18. Jahrhundert die an den Apsiden von Kirchen angelegten Friedhöfe nach und nach aufgegeben. Unter dem Einfluss der Hygienebewegung wurden Friedhöfe aus den urbanen Zentren verdrängt. Neue wurden vor den Toren von Städten und Dörfern angelegt. Choleraepidemien trugen maßgeblich zu diesem Wandel bei. Andererseits verstärkte die Verbreitung liberaler Ideen diese Bewegung. So konzentrierten sich die Debatten beispielsweise auf das Recht Ungetaufter, auf öffentlichen Friedhöfen begraben zu werden. In Frankreich wurden Friedhöfe bereits 1770 verlegt. Durch die Französische Revolution gingen die Pfarrfriedhöfe in den Besitz der Gemeinden über: Der städtische Friedhof wurde öffentlich. Das Gesetz vom 14. November 1881 erzwang Neutralität. Die Gesetzgebung verbot jegliche Unterscheidung von Bestattungen nach religiösen Kriterien und markierte damit deren Säkularisierung. Das hier abgebildete große Kreuz stammt aus dem Jahr 1896. Der Querbalken im keltischen Stil trägt Christus. Der Schaft ist mit Rosetten verziert. Auf dem Sockel ist „O crux ave spes unica“ zu lesen, zu deutsch: Das Kreuz ist die einzige Hoffnung.
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Le Moyen Âge voit la mise en place d’un arsenal législatif portant sur le lieu des tombes, à leur disposition ou encore aux modalités d’inhumation. La règle de l’ensevelissement en terre consacrée est absolue. Les membres dirigeants du clergé et de la noblesse locale, ou même des laïcs roturiers aisés, cherchent à se faire ensevelir dans les églises. Le sort des plus humbles reste la fosse commune. En effet, les tombes dans les cimetières ne sont pas individualisées. De plus, cette terre sacrée, que devrait constituer le cimetière, n’est pas exempte d’usages profanes. Les autorités ecclésiastiques relèvent de nombreuses infractions : jeux et danses, séchage du linge, échoppes de marchands, foires et marchés, individus faisant construire des maisons à louer! Dans cet ancien cimetière désaffecté, une croix en fer forgé porte l’inscription JHS. Elle date du XVIIIe siècle et est de style Louis XV.
The Middle Ages saw the establishment of a legislative arsenal concerning the location of graves, their disposition and even the methods of burial. The rule of burial in consecrated ground was absolute. Leading members of the clergy and the local nobility, or even wealthy lay commoners, sought to be buried in churches. The fate of the most humble remained the common grave. Indeed, the graves in cemeteries were not individualized. Moreover, this sacred ground, which should constitute the cemetery, was not exempt from profane uses. The ecclesiastical authorities noted numerous infractions: games and dances, drying of laundry, merchant stalls, fairs and markets, individuals building houses to rent! In this old disused cemetery, a wrought iron cross bears the inscription JHS. It dates from the 18th century and is in the Louis XV style.
Im Mittelalter wurde ein umfangreiches Regelwerk über die Lage und Gestaltung von Gräbern und sogar die Bestattungsmethoden geschaffen. Die Bestattung auf geweihter Erde war absolut vorgeschrieben. Führende Mitglieder des Klerus und des örtlichen Adels, aber auch wohlhabende Laien, wünschten sich eine Bestattung in der Kirche. Den Ärmsten blieb das Massengrab vorbehalten. Tatsächlich waren die Gräber auf Friedhöfen nicht individualisiert. Zudem war dieser heilige Boden, der den Friedhof bilden sollte, nicht vor profaner Nutzung geschützt. Die kirchlichen Autoritäten stellten zahlreiche Verstöße fest: Spiele und Tänze, Wäschetrocknen, Verkaufsstände, Jahrmärkte, Privatpersonen, die Häuser zur Vermietung bauten! Auf diesem alten, nicht mehr genutzten Friedhof trägt ein schmiedeeisernes Kreuz die Inschrift JHS. Es stammt aus dem 18. Jahrhundert und ist im Stil Ludwigs XV. gehalten.
Ce type d’équipement, aujourd’hui désuet, n’était pourtant pas très ancien. En France par exemple, ce sont les épidémies de choléra, de variole et de typhoïde qui poussent le Parlement à voter la loi du 3 février 1851. Celle-ci accorde un crédit spécial pour subventionner, à hauteur de 30 %, la construction des lavoirs couverts. Elle prévoit que « c’est au lavoir commun que la laveuse trouvera une distribution commode d’eau chaude et d’eau froide, des appareils de séchage lui permettant une économie de temps, et qui lui évite d’effectuer le blanchissage dans l’habitation » Le lavoir reste en usage jusqu’au milieu du XXe siècle.
This type of equipment, now obsolete, was not very old. In France, for example, it was the epidemics of cholera, smallpox and typhoid that prompted Parliament to pass the law of February 3, 1851. This granted a special credit to subsidize, up to 30%, the construction of covered wash houses. It stipulated that « it is in the common wash house that the washerwoman will find a convenient distribution of hot and cold water, drying devices allowing her to save time, and which avoids her having to do the laundry in the house. » The wash house remained in use until the middle of the 20th century.
Diese heute veraltete Art von Geräten war noch nicht sehr alt. In Frankreich beispielsweise waren es die Cholera-, Pocken- und Typhusepidemien, die das Parlament dazu veranlassten, am 3. Februar 1851 das Gesetz zu verabschieden. Dieses gewährte einen Sonderkredit, der den Bau überdachter Waschhäuser mit bis zu 30 % subventionierte. Es besagte, dass „die Wäscherin im gemeinsamen Waschhaus eine bequeme Verteilung von Warm- und Kaltwasser sowie Trockenvorrichtungen vorfindet, die ihr Zeit sparen und das Wäschewaschen im Haus vermeiden.“ Das Waschhaus blieb bis Mitte des 20. Jahrhunderts in Gebrauch.
Le croisillon porte le Christ sur l’avers. Le monument se compose d’un socle galbé, d’un fût pyramidal avec un médaillon, d’un chapiteau, et d’un croisillon, forme de croix latine, aux bras pattés. Dans le médaillon sur le fût on peut lire : «O crux ave à l’honneur de l’exaltation des croix A Viry 1810 »
The crosspiece bears Christ on the obverse. The monument consists of a curved base, a pyramidal shaft with a medallion, a capital, and a crosspiece in the form of a Latin cross, with arms pattés. In the medallion on the shaft one can read: « O crux ave in honor of the exaltation of the crosses A Viry 1810 »
Der Kreuzbalken trägt auf der Vorderseite Christus. Das Denkmal besteht aus einem geschwungenen Sockel, einem pyramidenförmigen Schaft mit Medaillon, Kapitell und einem Kreuzbalken in Form eines lateinischen Kreuzes mit Wappen. Im Medaillon auf dem Schaft ist zu lesen: „O crux ave zu Ehren der Kreuzerhöhung A Viry 1810“.
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Elle a été construite entre 1786 et 1790, remplaçant une chapelle de 1612. Le clocher possède une flèche dite de charpente. L’autel baroque est en bois de chêne, sculpté et doré Henri Didier a réalisé l’orgue en 1898. Un tableau de Claude Bassot représente «L’Adoration des Rois Mages» et date de la fin du XVIe siècle. Un autre ,figurant le Christ, a été offert par Napoléon III, toujours soucieux du soutien des catholiques.
It was built between 1786 and 1790, replacing a chapel from 1612. The bell tower has a so-called timber spire. The Baroque altar is made of carved and gilded oak. Henri Didier built the organ in 1898. A painting by Claude Bassot depicts « The Adoration of the Magi » and dates from the end of the 16th century. Another depicting Christ was donated by Napoleon III, always concerned about supporting Catholics.
Sie wurde zwischen 1786 und 1790 erbaut und ersetzte eine Kapelle aus dem Jahr 1612. Der Glockenturm hat einen sogenannten Holzturm. Der barocke Altar besteht aus geschnitzter und vergoldeter Eiche. Henri Didier baute die Orgel 1898. Ein Gemälde von Claude Bassot zeigt die „Anbetung der Heiligen Drei Könige“ und stammt vom Ende des 16. Jahrhunderts. Ein weiteres Gemälde mit Christusdarstellung wurde von Napoleon III. gestiftet, dem die Unterstützung der Katholiken stets am Herzen lag.
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Au XIXe siècle, Brouvelieures, qui n’a jamais excédé les 640 habitants, a surtout connu des activités primaires : sylviculture et autres activités forestières, élevage d’ovins et de caprins, pommes de terre et avoine.
In the 19th century, Brouvelieures, which never exceeded 640 inhabitants, mainly experienced primary activities: forestry and other forestry activities, sheep and goat farming, potatoes and oats.
Im 19. Jahrhundert waren in Brouvelieures, das nie mehr als 640 Einwohner hatte, hauptsächlich Forstwirtschaft und andere forstwirtschaftliche Tätigkeiten, Schaf- und Ziegenzucht sowie Kartoffel- und Haferanbau tätig.
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Brouvelieures a accueilli une féculerie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elle extrayait la fécule des pommes de terre pour produire différents dérivés. Elle n’employait que quatre ouvriers. Une forge n’en comptait que deux. Un moulin fut aussi en activité. Le bois était la principale ressource.
Brouvelieures was home to a starch factory in the second half of the 19th century. It extracted starch from potatoes to produce various derivatives. It employed only four workers. A forge had only two. A mill was also in operation. Wood was the main resource.
In Brouvelieures befand sich in der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts eine Stärkefabrik. Sie gewann Stärke aus Kartoffeln, um verschiedene Derivate herzustellen. Sie beschäftigte nur vier Arbeiter. Eine Schmiede hatte nur zwei Arbeiter. Auch eine Mühle war in Betrieb. Holz war die wichtigste Ressource.
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L’ancienne gare de la ligne de Mont-sur-Meurthe à Bruyères existe toujours, mais la commune n’est plus desservie par la SNCF. Au XIXe siècle, les plans types des gares sont souvent dressés par des ingénieurs pour des besoins locaux, seuls les matériaux de façades peuvent varier. Souvent, les petites ou moyennes gares adoptaient un plan standard, reproduit à de nombreux exemplaires, mais qui variait selon les époques et les compagnies ferroviaires qui exploitaient la ligne. Le style Renaissance a été adopté par un grand nombre de gares, notamment dans les modestes communes de campagne, avec souvent une composition symétrique. Cela a permis d’intégrer l’architecture ferroviaire à presque toutes les configurations urbaines, en lui conservant une certaine identité.
The old station on the Mont-sur-Meurthe to Bruyères line still exists, but the town is no longer served by the SNCF. In the 19th century, standard station plans were often drawn up by engineers for local needs; only the facade materials could vary. Often, small or medium-sized stations adopted a standard plan, reproduced in numerous copies, but which nevertheless varied according to the era and the railway companies that operated the line. The Renaissance style was adopted by a large number of stations, particularly in modest rural towns, often with a symmetrical composition. This made it possible to integrate railway architecture into almost all urban configurations, while retaining a certain identity.
Der alte Bahnhof an der Strecke Mont-sur-Meurthe–Bruyères existiert noch, die Stadt wird jedoch nicht mehr von der SNCF bedient. Im 19. Jahrhundert entwarfen Ingenieure oft Standardpläne für Bahnhöfe, die den lokalen Bedürfnissen entsprachen; lediglich die Fassadenmaterialien konnten variieren. Kleine und mittelgroße Bahnhöfe übernahmen oft einen Standardplan, der in zahlreichen Kopien reproduziert wurde, sich aber je nach Epoche und den die Strecke betreibenden Bahngesellschaften veränderte. Der Renaissancestil wurde von vielen Bahnhöfen übernommen, insbesondere in bescheideneren ländlichen Städten, oft mit einer symmetrischen Anordnung. Dies ermöglichte es, die Eisenbahnarchitektur in nahezu alle städtischen Konfigurationen zu integrieren und gleichzeitig eine gewisse Identität zu bewahren.