Xonville

Durée visite : 30 minutes
Moyen : Pédestre

Le château de Le blason de la commune de

L’histoire de Xonville est liée à son château. Le premier seigneur connu est Pierre de Laître, bourgeois de Metz, qui acquit la seigneurie de Xonville en 1356. Partagée au début du XVe siècle entre les Gournay et les Prény, elle appartenait en 1524 à Thiedric ou Thierry de Xonville. Passée par la suite entre les mains de plu­sieurs propriétaires, elle échut en 1668 à Michel de la Turelle, seigneur de Beau­fort, capitaine commandant les carabi­niers de Louis XIV. Puis, elle passa dans le courant du XVIIIe siècle, à Nicolas-François de Curel, colonel du génie et directeur des fortifica­tions de Verdun, Longwy, Luxembourg et Malmédy. Ce dernier fit restaurer le château. Resté dans la famille de Curel jusque vers 1832, le château passa à cette date à la famille de Faultrier.

The history of Xonville is linked to its castle. The first known lord is Pierre de Laître, bourgeois of Metz, who acquired the seigneury of Xonville in 1356. Shared at the beginning of the 15th century between the Gournays and the Prény, in 1524 it belonged to Thiedric or Thierry de Xonville. Subsequently passed into the hands of several owners, it fell in 1668 to Michel de la Turelle, Lord of Beaufort, captain commanding the carabineers of Louis XIV. Then, it passed in the course of the 18th century, to Nicolas-François de Curel , engineering colonel and director of the fortifications of Verdun, Longwy, Luxembourg and Malmédy. The latter restored the castle. Remained in the family of Curel until around 1832, the castle passed on that date to the family of Faultrier.

Die Geschichte von Xonville ist mit seiner Burg verbunden. Der erste bekannte Herr ist Pierre de Laître, Bourgeois von Metz, der 1356 das Seigneury von Xonville erwarb. Zu Beginn des 15. Jahrhunderts zwischen den Gournays und dem Prény geteilt, gehörte es 1524 Thiedric oder Thierry de Xonville. Später in die Hände mehrerer Besitzer übergegangen, fiel es 1668 an Michel de la Turelle, Lord von Beaufort, Kapitän der Karabiner von Ludwig XIV. Und ging dann im Laufe des 18. Jahrhunderts an Nicolas-François de Curel über , Ingenieuroberst und Direktor der Befestigungen von Verdun, Longwy, Luxemburg und Malmédy. Letzterer restaurierte die Burg. Das Schloss blieb bis etwa 1832 in der Familie von Curel und ging an diesem Datum an die Familie von Faultrier über.

Tiercé en pairle, au 1er de sinople à une rencontre de bœuf d’argent, au 2e d’or à deux fasces de gueules, et au 3e d’azur au lion d’or armé et lampassé de gueules.

La tête de bœuf symbolise Saint Luc, patron de la paroisse. Le lion figure dans les armes de Nicolas François De Curel, seigneur du lieu. Il avait pour blason : D’azur au lion d’or armé et lampassé de gueules accosté d’un dextrochère de carnation tenant une balance d’argent mouvant d’une nuée au naturel, issante du canton dextre de l’écu. Enfin, les deux fasces rappellent le droit de passage de la localité. Dominique Larcher composa le blason que la ville adopta le 4 octobre 2003.

Tiercé in pair, 1st Vert with a meeting of ox Argent, 2nd Or with two fess Gules, and 3rd Azure with a lion Or armed and langued Gules.

The ox’s head symbolizes Saint Luke, patron of the parish. The lion figures in the arms of Nicolas François De Curel, Lord of the place. It had for blazon: Azure with a lion Or armed and langued Gules accosted by a dextrochère of carnation holding a silver scales moving with a natural cloud, issuing from the dexter canton of the shield. Finally, the two fascias recall the right of way of the locality. Dominique Larcher composed the coat of arms that the city adopted on October 4, 2003.

Tiercé zu zweit, 1. Vert mit einem Treffen von Ochsen Argent, 2. oder mit zwei Fess Gules und 3. Azure mit einem Löwen oder bewaffneten und schmachtenden Gules.

Der Kopf des Ochsen symbolisiert den heiligen Lukas, den Schutzpatron der Gemeinde. Die Löwenfiguren in den Armen von Nicolas François De Curel, dem Herrn des Ortes. Es hatte für Wappen: Azurblau mit einem Löwen oder bewaffnete und schmachtende Gules, die von einem Nelken-Dextrochère angesprochen wurden, der eine silberne Schuppe hält, die sich mit einer natürlichen Wolke bewegt und aus dem Dexter-Kanton des Schildes stammt. Schließlich erinnern die beiden Faszien an die Vorfahrt des Ortes. Dominique Larcher komponierte das Wappen, das die Stadt am 4. Oktober 2003 verabschiedete.

Les habitants et les habitantes de Xonville s’appellent les Xonvillois et les Xonvilloises.

The inhabitants of Xonville are called Xonvillois and Xonvilloises.

Die Einwohner von Xonville heißen Xonvillois und Xonvilloises.

Les points de visites

 

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Situé en bordure Nord-Ouest du village, le château fut sans doute construit au début du XVIe siècle. C’est un bâtiment de plan massé couvert d’un beau toit d’ardoise à forte pente. Il est cantonné de tours carrées à toit en pavillon. Les façades, peu percées, ont conservé quelques croisées anciennes et des fenêtres à traverse, malgré les modifi­cations du XIXe siècle. Les dépendances de plan en U s’étendent à l’Ouest, à proximité immédiate du château. C’est aujourd’hui une exploitation agricole.

Located on the northwestern edge of the village, the castle was undoubtedly built at the beginning of the 16th century. It is a massed building covered with a beautiful slate roof with a steep slope. It is confined by square towers with pavilion roofs. The facades, little drilled, have retained some old windows and transom windows, despite the modifications of the 19th century. The U-shaped outbuildings extend to the west, in the immediate vicinity of the castle. It is now a farm.

Das am nordwestlichen Rand des Dorfes gelegene Schloss wurde zweifellos zu Beginn des 16. Jahrhunderts erbaut. Es ist ein massiertes Gebäude, das mit einem schönen Schieferdach mit einem steilen Hang bedeckt ist. Es ist auf quadratische Türme mit Pavillondächern beschränkt. Die wenig gebohrten Fassaden haben trotz der Modifikationen des 19. Jahrhunderts einige alte Fenster und Heckfenster erhalten. Die U-förmigen Nebengebäude erstrecken sich nach Westen in unmittelbarer Nähe des Schlosses. Heute ist es ein Bauernhof.

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Le chou ou Brassica oleracea  est une espèce de plantes de la famille des Brassicacées, originaire du sud-ouest de l’Europe. Ce sont des plantes généralement bisannuelles. Leur culture en tant que légume remonte à la plus haute Antiquité, à partir de formes sauvages originaires d’Europe de l’Ouest. Il fait partie des plantes dont la culture est recommandée dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis. Comme tous les Brassicacae, il se récolte en période fraîche, de préférence en automne. Il peut se consommer sous forme de choucroute. Le chou est débarrassé de ses feuilles externes et de son trognon. Puis les feuilles restantes sont coupées en fine julienne sur un coupe-chou. Le légume est soumis à lacto-fermentation dans une saumure. Il est disposé par couches de vingt centimètres d’épaisseur, séparées par des couches de sel, environ 2,5 % à 3 % du poids des légumes, dans un haut tonneau de bois ou de grès. Une planche de bois ajustée permet de fermer le récipient de manière à isoler le chou de l’air. Une pierre leste le couvercle et comprime le tout. En France, les premières références à la cuisson du chou ainsi préparé datent du XVe siècle. Des textes du XVIe siècle en attestent la présence à la table des monastères. Au XVIIe siècle, on le trouve sous nom de Kompostkrut. Au siècle suivant, il se généralise en Alsace, dans une partie de la Lorraine et dans le Bade-Wurtemberg.

Cabbage or Brassica oleracea is a species of plants in the Brassicaceae family, native to southwestern Europe. They are generally biennial plants. Their cultivation as a vegetable dates back to ancient times, from wild forms native to Western Europe. It is one of the plants recommended for cultivation in royal estates by Charlemagne in the De Villis chapter. Like all Brassicacae, it is harvested in cool periods, preferably in autumn. It can be eaten in the form of sauerkraut. Cabbage is stripped of its outer leaves and core. Then the remaining leaves are cut into fine julienne on a cabbage cutter. The vegetable is subjected to lacto-fermentation in brine. It is arranged in layers twenty centimeters thick, separated by layers of salt, about 2.5% to 3% of the weight of the vegetables, in a high barrel of wood or stoneware. A tight-fitting wooden plank closes the container so that the cabbage is isolated from the air. A stone weighs down the cover and compresses everything. In France, the first references to cooking cabbage thus prepared date from the 15th century. Texts from the 16th century attest to its presence at the table of monasteries. In the 17th century, it is found under the name Kompostkrut. In the following century, it spreads in Alsace, in part of Lorraine and in Baden-Württemberg.

Kohl oder Brassica oleracea ist eine Pflanzenart aus der Familie der Brassicaceae, die in Südwesteuropa heimisch ist. Sie sind in der Regel zweijährige Pflanzen. Ihr Anbau als Gemüse reicht bis in die Antike zurück, von in Westeuropa heimischen Wildformen. Es ist eine der Pflanzen, die Karl der Große im Kapitel De Villis für den Anbau in königlichen Gütern empfohlen hat. Wie alle Brassicacae wird es in kühlen Perioden, vorzugsweise im Herbst, geerntet. Es kann in Form von Sauerkraut gegessen werden. Kohl wird von seinen äußeren Blättern und seinem Kern befreit. Dann werden die restlichen Blätter auf einem Kohlschneider in feine Julienne geschnitten. Das Gemüse wird in Salzlake einer Lacto-Fermentation unterzogen. Es ist in Schichten von zwanzig Zentimetern Dicke angeordnet, die durch Salzschichten, etwa 2,5% bis 3% des Gewichts des Gemüses, in einem hohen Holz- oder Steinzeugfass getrennt sind. Ein eng anliegendes Holzbrett verschließt den Behälter, so dass der Kohl von der Luft isoliert ist. Ein Stein beschwert die Decke und komprimiert alles. In Frankreich stammen die ersten Hinweise auf das so zubereitete Kochen von Kohl aus dem 15. Jahrhundert. Texte aus dem 16. Jahrhundert zeugen von seiner Präsenz am Klostertisch. Im 17. Jahrhundert wird es unter dem Namen Kompostkrut gefunden. Im folgenden Jahrhundert verbreitet es sich im Elsass, in einem Teil Lothringens und in Baden-Württemberg.

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