Taintrux

Durée visite : 40 minutes
Moyen : Pédestre

Une vue générale de la commune de Taintrux dans les Vosges

La commune de Taintrux est l’une des plus vastes du département. Elle est arrosée par le Taintroué, petit affluent rive gauche de la Meurthe. La grande seigneurie de type féodale apparaît assez tardivement, au XIVe siècle. À son origine, le duc de Lorraine Ferry IV récompense en 1315 dans son testament son écuyer et vassal Aubert de Parroye avec les terres de Taintrux, Fraize, Ceffalt et Benaismenil. En 1594, les villages et censes dépendent de la prévôté et de la châtellenie de Saint-Dié. Taintrux est régulièrement ravagée par des bandes de pillards et de déserteurs après 1635 et même après la guerre de Trente Ans (1648). Au XVIIe siècle, l’essor démographique est reparti. En 1693, Pierre de Cogney devient seigneur de Taintrux. En 1845, la commune est à son apogée démographique. Le service fiscal recense 394 maisons, 530 ménages, 202 électeurs censitaires, trois moulins à grains, cinq scieries, une fabrique de galoches dont les machines hydrauliques sont activées par l’eau du Taintroué ou de ses affluents. La petite rivière est d’ailleurs aménagée et flottable. Le commerce de planches, de bois de chauffage et d’œuvres sont ses principales ressources, avec le bétail et la pomme de terre.

Des combats violents s’y cristallisèrent en août et septembre 1914 après que Saint-Dié eut été occupée. La commune a été décorée le 22 octobre 1921 de la croix de guerre 1914-1918. Le maquis de Taintrux se révolta en juin 1944 à l’instar de celui de Corcieux. La répression fut sanglante et plusieurs maquisards furent fusillés. La commune a été décorée, le 11 novembre 1948, de la Croix de guerre 1939-1945.

The town of Taintrux is one of the largest in the department. It is watered by the Taintroué, small tributary left bank of the Meurthe. The great lordship of feudal type appears rather late, in the fourteenth century. Originally, the Duke of Lorraine Ferry IV rewarded in 1315 in his will his squire and vassal Aubert de Parroye with the lands of Taintrux, Fraize, Ceffalt and Benaismenil. In 1594, the villages and censes depend on the provost and the castellany of Saint-Die. Taintrux is regularly ravaged by bands of looters and deserters after 1635 and even after the Thirty Years War (1648). In the seventeenth century, the population boom started again. In 1693, Pierre de Cogney became lord of Taintrux. In 1845, the town is at its peak population. The tax service lists 394 houses, 530 households, 202 electors, three grain mills, five sawmills, a galoshes factory whose hydraulic machines are activated by the water of Taintroué or its tributaries. The small river is also arranged and buoyant. The trade of planks, firewood and works are his principal resources, with the cattle and the potato.

Violent combats crystallized there in August and September 1914 after Saint-Dié had been occupied. The town was decorated October 22, 1921 of the 1914-1918 war cross. The maquis of Taintrux revolted in June 1944 like that of Corcieux. The repression was bloody and several guerrillas were shot. The commune was decorated, on November 11, 1948, with the Croix de Guerre 1939-1945.

Die Stadt Taintrux ist eine der größten im Departement. Es wird vom Taintroué, einem kleinen Nebenfluss am linken Ufer der Meurthe, bewässert. Die große Herrschaft des feudalen Typs taucht erst spät im 14. Jahrhundert auf. An seinem Ursprung, der Herzog von Lothringen Ferry IV Auszeichnung im Jahr 1315 in seinem Testament seiner Knappe und Vasall Aubert Parroye mit Land Tain, Fraize, Ceffalt und Benaismenil. Im Jahr 1594 sind die Dörfer und Höfe von der Provinz und der Kastellanei Saint-Die abhängig. Tain wird regelmäßig von Banden von Plünderern und Deserteure nach 1635 verwüstet und auch nach dem Dreißigjährigen Krieg (1648). Im 17. Jahrhundert setzte der Bevölkerungsboom wieder ein. Im Jahr 1693 wurde Pierre de Cogney Herr von Taintrux. Im Jahr 1845 hat die Stadt ihren Höhepunkt erreicht. Der Steuer-Service listet 394 Häuser, 530 Haushalte, 202 Volkszählung Wähler, drei Getreidemühlen, fünf Sägewerke, eine Fabrik, die durch Wasser Taintroué oder seine Zuflüsse aktivierte hydraulische Maschinen verstopft. Der kleine Fluss ist ebenfalls angelegt und lebhaft. Die Handelsplatten, Brennholz und Werke sind die wichtigsten Ressourcen, mit Vieh und Apfel terre.

Des heftigen Kämpfen im August und September 1914 kristallisierten nach Saint-Der besetzt worden war. Die Stadt wurde am 22. Oktober 1921 vom Kriegskreuz 1914-1918 geschmückt. Der Maquis von Taintrux empörte sich im Juni 1944 wie der von Corcieux. Die Unterdrückung war blutig und mehrere Guerillas wurden erschossen. Die Gemeinde wurde am 11. November 1948 mit dem Croix de Guerre 1939-1945 ausgezeichnet.

Écartelé au 1° d’or au château donjonné de sable ajouré et ouvert du champ, au 2° d’azur à trois quintefeuilles d’argent percées du champ, au 3° d’azur à trois macles d’argent, au 4° d’or à trois têtes de lion arrachées et lampassées de gueules ; sur le tout un filet en croix de gueules bordé d’argent.

Le château de Taintrux était le chef-lieu d’une seigneurie très ancienne des Vosges. Les trois autres quartiers évoquent les armes de Pierre Cogney, seigneur du lieu, et de son épouse Elisabeth Reboursel. Le filet en croix de gueules bordé d’argent figure la croix de saint George, du patron de la paroisse16. Le blason a été créé en 2001 par Bernard Deforche.

The Château de Taintrux was the capital of a very old seigneury of the Vosges. The other three districts evoke the arms of Pierre Cogney, lord of the place, and his wife Elisabeth Reboursel. The gules cross fillet edged in silver represents the cross of Saint George, the patron saint of the parish16. The coat of arms was created in 2001 by Bernard Deforche.

Das Château de Taintrux war die Hauptstadt eines sehr alten Seigneuriums der Vogesen. Die anderen drei Bezirke erinnern an die Waffen von Pierre Cogney, dem Herrn des Ortes, und seiner Frau Elisabeth Reboursel. Das in Silber eingefasste Gules-Kreuzfilet repräsentiert das Kreuz des Heiligen Georg, des Schutzpatrons der Gemeinde16. Das Wappen wurde 2001 von Bernard Deforche erstellt.

Les habitants et les habitantes de Taintrux s’appellent les Taintrusiens et les Taintrusiennes.

The inhabitants of Taintrux are called Taintrusiens and Taintrusiennes.

Die Einwohner von Taintrux heißen Taintrusiens und Taintrusiennes.

Les points de visites

 

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Vers l’an 600, des religieux du monastère de Saint-Dié ( disciples de St Déodat ) vinrent s’établir à Taintrux . Ils construisirent un oratoire, puis une chapelle qui subsiste jusqu’à l’an 900, ruinées par les Huns, elle est reconstruite en 954. Après une période d’oubli, celle-ci, qui tombait en ruines, a été reconstruite en 1700 avec les fonds personnel du curé Genet et la participation des paroissiens qui pratiquèrent le voiturage pour apporter les matériaux. En 1789 la révolution avait transformé l’église en « temple de la raison ». Deux des trois cloches furent abattues du clocher par les révolutionnaires et remplacées en 1809. L’église est de style gothique et renaissance. Le clocher est surmonté d’une croix datée de 1840 et d’un coq remplacé en 1980. Le mécanisme à poids de l’horloge qui datait de 1845 a été remplacé par une commande électrique en 1950. L’autel adossé au mur de la sacristie a été supprimé et remplacé par l’actuel en 1954. Au fond du cimetière qui entoure l’église, se trouve un carré militaire, d’une vingtaine de tombes, de la guerre de 1914-1918.

Around the year 600, monks of the monastery of St. Die (disciples of St Déodat) came to settle in Taintrux. They built an oratory, then a chapel that survives until the year 900, ruined by the Huns, it is rebuilt in 954. After a period of oblivion, it, which fell into ruins, was rebuilt in 1700 with the personal funds of the priest Genet and the participation of the parishioners who practiced the carriages to bring the materials. In 1789 the revolution had turned the church into a « temple of reason ». Two of the three bells were defeated by the revolutionaries and replaced in 1809. The church is Gothic and Renaissance. The bell tower is surmounted by a cross dated 1840 and a rooster replaced in 1980. The weight mechanism of the clock which dated back to 1845 was replaced by an electric drive in 1950. The altar leaning against the wall of the sacristy was removed and replaced by the current one in 1954. At the bottom of the cemetery which surrounds the church, there is a military square, of about twenty graves, of the war of 1914-1918..

Um das Jahr 600 ließen sich Mönche des Klosters St. Die (Schüler des hl. Déodat) in Taintrux nieder. Sie bauten ein Oratorium, dann eine Kapelle, die bis zum Jahr 900 erhalten blieb. Sie wurde von den Hunnen zerstört und 954 wieder aufgebaut. Nach einer Zeit des Vergessens wurde sie, die in Trümmer fiel, 1700 wieder aufgebaut mit den persönlichen Mitteln des Priesters Genet und der Teilnahme der Gemeindemitglieder, die die Kutschen übten, um die Materialien zu bringen. 1789 hatte die Revolution die Kirche in einen « Tempel der Vernunft » verwandelt. Zwei der drei Glocken wurden von den Revolutionären besiegt und 1809 ersetzt. Die Kirche ist gotisch und Renaissance. Der Glockenturm wird von einem Kreuz aus dem Jahr 1840 und einem Hahn aus dem Jahr 1980 überragt. Der Gewichtsmechanismus der Uhr aus dem Jahr 1845 wurde 1950 durch einen elektrischen Antrieb ersetzt. Der Altar lehnte an der Wand des Die Sakristei wurde 1954 entfernt und durch die jetzige ersetzt. Am unteren Rand des Friedhofs, der die Kirche umgibt, befindet sich ein Militärplatz mit etwa zwanzig Gräbern aus den Jahren 1914-1918.

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Le monument arbore sur un obélisque le modèle du Poilu mourant défendant son drapeau. Au bord de la base de l’obélisque, symboliquement au bord du gouffre, se trouve le Poilu mourant. Cette combinaison, qui résume les émotions propres à la commémoration de la guerre, s’observe sur plusieurs monuments en métropole, comme à Cabourg (Calvados), Honnecourt-sur-Escaut (Nord), ou Arques (Pas-de-Calais). Sur ces monuments, qui proviennent également des Marbreries générales de Paris. Cette représentation est assez rare. Par apposition au Poilu victorieux, aussi appelé Poilu de la Victoire, œuvre du sculpteur français Eugène Bénet, réalisée en 1920, représentant un poilu, un soldat français de la Première Guerre mondiale, et destinée aux monuments aux morts, elle en orne plusieurs centaines à travers toute la France.

The monument sports on an obelisk the model of the dying Hairy defending his flag. At the edge of the base of the obelisk, symbolically at the edge of the chasm, is the dying Hairy. This combination, which summarizes the emotions of commemoration of the war, is observed on several monuments in France, such as Cabourg (Calvados), Honnecourt-sur-Escaut (North), or Arques (Pas-de-Calais). On these monuments, which also come from the General Marble of Paris. This representation is quite rare. By apposition to the victorious Poilu, also called Poilu de la Victoire, the work of the French sculptor Eugène Bénet, carried out in 1920, representing a hairy, a French soldier of the First World War, and intended for war memorials, she adorns several hundred to throughout France.

 

Das Denkmal trägt auf einem Obelisken das Modell des sterbenden Haariger, der seine Flagge verteidigt. Am Rande der Basis des Obelisken, symbolisch am Rande des Abgrunds, befindet sich der sterbende Hairy. Diese Kombination, die die Gefühle der Kriegserinnerung zusammenfasst, ist an mehreren Monumenten in Frankreich zu beobachten, wie beispielsweise Cabourg (Calvados), Honnecourt-sur-Escaut (Nord) oder Arques (Pas-de-Calais). Auf diesen Denkmälern, die auch aus dem General Marble von Paris stammen. Diese Darstellung ist ziemlich selten. Unter Berufung auf das siegreiche Poilu, auch Poilu de la Victoire genannt, ziert sie das 1920 von dem französischen Bildhauer Eugène Bénet ausgeführte Werk, das einen haarigen französischen Soldaten des Ersten Weltkriegs darstellt und für Kriegsdenkmäler bestimmt ist in ganz Frankreich.

 

 

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Le château de TAINTRUX se trouvait sur la commune du même nom, en contrebas de l’actuelle mairie à 370 mètres d’altitude environ. Le château va survivre jusqu’au XIXe siècle. En 1831 il est démoli aux trois quarts. Une de ses dépendance survivra et sera longtemps utilisée comme écurie. Le château servira de carrière de pierre pour la construction de la mairie du village. La mairie est un bâtiment original de deux étages. Le premier est réalisé en grès des Vosges aux fenêtres supprimer « sont » arquées. Le second étage est beaucoup plus sobre supprimer auxaux et très classiques. L’entrée est surmontée d’une tourelle rappelant un château. Le tout est un édifice élégant et de belle facture.

The castle TAINTRUX was on the town of the same name, below the current town hall at 370 meters above sea level. The castle will survive until the 19th century. In 1831 it is demolished to three quarters. One of his dependencies will survive and will be used for a long time as stable. The castle will serve as a stone quarry for the construction of the town hall. The town hall is an original building of two floors. The first is made of Vosges sandstone windows delete « are » arched. The second floor is much more sober to remove auxaux and very classic. The entrance is surmounted by a turret recalling a castle. The whole is an elegant and beautiful building.

 

Das Schloss TAINTRUX befand sich in der gleichnamigen Stadt unterhalb des heutigen Rathauses auf 370 m Seehöhe. Die Burg wird bis ins 19. Jahrhundert überleben. 1831 wird es zu drei Vierteln abgerissen. Eine seiner Abhängigkeiten wird überleben und lange Zeit als stabil gelten. Das Schloss wird als Steinbruch für den Bau des Rathauses dienen. Das Rathaus ist ein zweistöckiges Originalgebäude. Die erste ist aus Vogesen Sandstein Fenster löschen « sind » gewölbt. Der zweite Stock ist viel nüchterner und sehr klassisch. Der Eingang wird von einem Turm überragt, der an eine Burg erinnert. Das Ganze ist ein elegantes und schönes Gebäude.

 

 

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Le terme de bildstock a été proposé pour la première fois par E. KIEFFER en 1934. Il reprenait un terme d’origine allemande à savoir une image (bild) sur un bâton (stock), pour une croix de chemin tout à fait particulière, destinée à être vue sur quatre, voire trois côtés. Aux XVe et XVIe siècles, le fût, lorsqu’il est conservé, nous indique la profession du commanditaire par un attribut professionnel alors qu’au début du XVIIe siècle la dédicace est le plus souvent écrite. Les donateurs se sont le plus souvent engagés à la construction de ces petits monuments, par vœux, afin d’échapper à la peste qui sévissait à l’époque ; mais aussi, en Lorraine, aux affres de la Guerre de Trente ans. Ces monuments historiés sur deux, trois, mais le plus souvent quatre faces, ont un état d’esprit particulier qui existait au Moyen Âge, utiliser les saints comme intercesseurs pour solliciter le Christ. On peut alors y voir le saint patron du commanditaire, de son épouse et le patron de la paroisse entre autres. Le contexte du bildstock est donc philosophique : représenter le Christ parmi ses saints. Celui de Rogiville représente le Christe et les deux larrons. Au pieds du Christ on aperçoit l’Archange Saint-Michel terrassant le dragon. Le dragon personnalise Lucifer donc le Mal. Ces croix de chemin sont donc à différencier des calvaires qui ont toujours le même thème de représentation ou les simples crucifix qui ont leur propre définition.

The term bildstock was proposed for the first time by E. KIEFFER in 1934. It used a term of German origin, namely an image (bild) on a stick (stock), for a very special way cross, intended to be seen on four or even three sides. In the fifteenth and sixteenth centuries, the cask, when preserved, indicates the profession of the patron by a professional attribute, whereas at the beginning of the seventeenth century the dedication is most often written. The donors were most often engaged in the construction of these small monuments, by vows, in order to escape the plague which prevailed at the time; but also, in Lorraine, in the throes of the Thirty Years War. These monuments historiated over two, three, but most often four faces, have a particular state of mind that existed in the Middle Ages, use the saints as intercessors to solicit Christ. We can then see the patron saint of the sponsor, his wife and the patron of the parish among others. The context of the bildstock is therefore philosophical: to represent Christ among his saints. That of Rogiville represents the Christe and the two larons. At the feet of Christ we see the Archangel Michael slaying the dragon. The dragon customizes Lucifer so Evil. These path crosses are thus to be differentiated from the crosses which always have the same theme of representation or the simple crucifixes which have their own definition.

Der Begriff bildstock wurde erstmals 1934 von E. KIEFFER vorgeschlagen. Er verwendete für ein ganz besonderes Wegkreuz einen Begriff deutscher Herkunft, nämlich ein Bild auf einem Stock. Soll auf vier oder sogar drei Seiten gesehen werden. Im fünfzehnten und sechzehnten Jahrhundert zeigt das Fass, wenn es konserviert ist, den Beruf des Gönners durch ein berufliches Attribut an, während zu Beginn des siebzehnten Jahrhunderts die Widmung am häufigsten geschrieben wird. Die Spender waren am häufigsten mit dem Bau dieser kleinen Denkmäler durch Gelübde beschäftigt, um der damals herrschenden Pest zu entgehen; aber auch in Lothringen mitten im Dreißigjährigen Krieg. Diese Denkmäler, die über zwei, drei, aber meistens über vier Gesichter verlaufen sind, haben eine bestimmte Einstellung, die es im Mittelalter gab. Sie benutzen die Heiligen als Fürsprecher, um Christus zu erbitten. Wir können dann unter anderem den Schutzpatron des Sponsors, seine Frau und den Schutzpatron der Gemeinde sehen. Der Kontext des Bildstocks ist daher philosophisch: Christus unter seinen Heiligen darstellen. Das von Rogiville repräsentiert die Christe und die beiden Laronen. Zu Füßen Christi sehen wir den Erzengel Michael, der den Drachen tötet. Der Drache passt Luzifer so böse an. Diese Wegkreuze sind also zu unterscheiden von den Kreuzen, die immer das gleiche Darstellungsthema haben, oder den einfachen Kruzifixen, die eine eigene Definition haben.

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